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rons-nous ? Au nom de quoi ? Et en vue de quelles
fins
faut-il créer l’union des gens de l’Europe, tels qu’ils sont, ou tels
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aux 24 000 centrales nucléaires nécessaires à la
fin
du siècle, et produisant assez de plutonium pour nous tuer tous plusi
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t historique ni physiologique, pour rejoindre les
fins
dernières qui m’appellent, je ne puis pas aller par la route national
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s’agit d’une activité jamais achevée et qui sans
fin
cherche sa fin, et qui la reconnaît lorsqu’elle éprouve un sentiment
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ctivité jamais achevée et qui sans fin cherche sa
fin
, et qui la reconnaît lorsqu’elle éprouve un sentiment de convenance e
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timent de convenance entre ses démarches et cette
fin
. Je conçois que l’on puisse n’y pas croire. Que l’on puisse nier l’ex
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motivant tout, une recherche de l’homme et de ses
fins
dernières, qui « passent infiniment l’homme » selon Pascal, recherche
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uerre. Une page du carnet intime tenu par Mounier
fin
1932 me paraît bien révélatrice des causes du conflit tour à tour déc
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rope apparaît inévitablement, non point comme une
fin
en soi, mais comme un moment dialectique — à vrai dire décisif du « d
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libertés. S’unir entre groupes autonomes à seule
fin
d’assurer à tous une défense tout juste assez forte pour permettre à
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et politologues qui annoncent régulièrement « la
fin
du fédéralisme » dès qu’une tâche nouvelle se voit attribuée, en vert
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p — en même temps que la meilleure définition des
fins
qu’entend servir son art. c. Rougemont Denis de, « [Préface] À pro
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nt, ou de gérance de la cité, en vue et au nom de
fins
déterminées. Gouverner c’est prévoir, dit l’adage. Mais qui prévoit
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n 1875 (il y a donc un peu moins de cent ans), au
fin
fond du Middle West, à huit miles de Detroit, le jour où un garçon de
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ent très vite. Qu’elles parviendraient d’ici à la
fin
du siècle, à des altitudes irrespirables, où tout être humain dispara
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’est pas un phénomène nouveau, cela existait à la
fin
du monde hellénistique quand les villes sont devenues trop grandes. L
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ts, puisque leur formule même est de croître sans
fin
. Mais si elle ne consiste ni à fermer les usines, ni à décréter la se
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musicale (au xiie siècle), puis théâtrale dès la
fin
du xvie siècle, enfin cinématographique au xxe siècle. Preuve en es
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ne saurait s’appliquer au mariage, dont la seule
fin
est de donner des enfants à l’État. Certes, l’amour vrai « tend à l’e
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s on peut citer les Carmina de l’évêque Fortunat (
fin
du vie siècle) dédiés à la reine Radegonde, alors retirée au monastè
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cette époque dans la psyché occidentale ? Dès la
fin
du xie siècle, des mouvements religieux hétérodoxes prolifèrent en I
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éparation suprême dans la mort, obstacle dernier,
fin
du « roman ». Tel est le secret que le mythe a pour fonction, comme t
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dangereux. Et on ne devra pas s’étonner si, à la
fin
il ne reste plus, pour s’opposer au pouvoir, que l’écrivain, ce fou !
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— dont la télévision nous rappelait récemment la
fin
tragique — n’étaient pas dans la norme de l’Amérique des années 1950.
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de remplacement de l’État-nation, ordonnées à des
fins
de liberté personnelle, non de puissance collective, et de communauté
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ueil de textes Pour l’Europe, réunis par lui à la
fin
de sa vie, je trouve ces mots qu’on ne saurait souhaiter plus éclaira
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e et surprofits privés — absolument contraire aux
fins
que je défends dans toute mon œuvre, de liberté et de responsabilité
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à l’échelle continentale, et elle disposait à ces
fins
de moyens beaucoup plus importants que le Conseil de l’Europe. L’orga
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de la CECA. Lorsque René Pleven ranima le projet,
fin
1951, on lui fit observer de divers côtés qu’une armée sans gouvernem
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ueil de textes Pour l’Europe, réunis par lui à la
fin
de sa vie, je trouve ces mots qu’on ne saurait souhaiter plus éclaira
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es personnes. J’oppose puissance et liberté comme
fins
de la société, et je crois que cette distinction est, aujourd’hui, dé
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e domine absolument tout ce qui va se passer à la
fin
de ce siècle. S’agissant de définir le pouvoir, Jeanne Hersch n’a pas
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des conflits qui couvent ou se déclarent en cette
fin
du xxe siècle me paraissent se ramener, symboliquement mais concrète
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s plus encore et même d’abord en connaissance des
fins
humaines auxquelles chaque modèle nous conduit. Deux volontés, deux f
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munauté — locale, régionale, nationale — vers des
fins
choisies par un chef, un Parti, ou au contraire par l’ensemble des ci
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le partie du réel, mais déclare une priorité, une
fin
à laquelle les moyens ont pour devoir de concourir. Ce qu’il faut voi
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chances de la guerre atomique, c’est-à-dire de la
fin
de l’histoire humaine. Il est non moins clair que personne n’a jamais
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e la paix : car ce choix signifie du même coup la
fin
de nos États-nations, liés au plutonium le bien nommé, produit du mon
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chain. Notre problème n’est pas des moyens et des
fins
, car les fins seules dicteront leurs moyens. Ce qu’il faut voir, c’es
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roblème n’est pas des moyens et des fins, car les
fins
seules dicteront leurs moyens. Ce qu’il faut voir, c’est que le but d
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telois que Rousseau, bien à tort, qualifiait de «
fin
, faux, fourbe et courtois », une rudesse utilitaire qui semble se méf
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tienne-Aoste, aux débuts de notre histoire (de la
fin
du ixe au milieu du xie siècle) avait déjà été englobé dans le roya
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nos vrais désirs, nos vrais besoins et les vraies
fins
vers lesquelles ils nous portent ». « À vous de jouer ! » lance-t-il
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r de tous les urbanistes avancés, est arrivé à la
fin
de sa vie à la conclusion que la ville idéale ne doit pas dépasser 50
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st, pour l’État, le moyen idéal de parvenir à ses
fins
; dès que la patrie est en danger, il n’y a plus ni catholiques, ni p
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a guerre « comme la nuée porte l’orage ». À cette
fin
, nos interlocuteurs s’appelaient aussi bien Blumba que Caillaux. Là-d
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me répète souvent : « Si l’on m’apprenait que la
fin
du monde est pour demain, je planterais quand même un pommier. » 33
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incident avec le pétrole ! Puis-je vous citer la
fin
de votre phrase de tout à l’heure sur les cataclysmes ? La voici : «
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survivants ne raconteront pas, faute de public :
fin
du récit des civilisations, fin de l’Histoire. » Ce n’est tout de mêm
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faute de public : fin du récit des civilisations,
fin
de l’Histoire. » Ce n’est tout de même pas à la panne d’essence que v
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’État-nation et qu’il faut, pour cela, changer de
fins
. La fin de l’État-nation étant sa propre puissance, c’est en mettant
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ion et qu’il faut, pour cela, changer de fins. La
fin
de l’État-nation étant sa propre puissance, c’est en mettant fin à ce
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ation étant sa propre puissance, c’est en mettant
fin
à ce mythe de la puissance qu’on mettra fin à la tyrannie de l’État.
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ttant fin à ce mythe de la puissance qu’on mettra
fin
à la tyrannie de l’État. Je précise à cet égard que je ne mets bien e
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l’État ? Des communautés vivantes ayant d’autres
fins
que leur propre puissance. Un tel substitut de l’État a-t-il jamais e
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it promettre qu’elles ne s’en serviront pas à des
fins
belliqueuses, mais tout le monde sait qu’on peut faire une bombe avec
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ville future (décembre 1977)by 1. Origine et
fins
de la ville Création de l’ère néolithique, la ville n’a guère plus
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irer, car la gloire de Dieu l’éclaire ». Ainsi la
fin
de l’homme n’est pas le « retour à la Mère Nature », mais la transfig
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ns sociologues affirmaient naguère encore qu’à la
fin
du siècle, quatre cinquièmes de l’humanité s’entasseraient dans des v
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riva à exterminer six millions de juifs. Après la
fin
de la guerre, le remords collectif des grandes nations les poussa à e
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urvivants ne se raconteront pas, faute de public.
Fin
du récit des civilisations, fin de l’Histoire. Tout le monde sait auj
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faute de public. Fin du récit des civilisations,
fin
de l’Histoire. Tout le monde sait aujourd’hui que l’épuisement des so
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eux, il faut s’efforcer de ne pas avoir à écrire
FIN
, mais À SUIVRE au bas de la longue histoire qui s’écrit depuis des si
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vé et qui, en public, prêchent la croissance sans
fin
. Après moi le déluge, semblent-ils dire. Ils ne pensent qu’aux électi