1 la relisent, et ils se rendront compte que notre héros national suisse n’était pas particulièrement respectueux de la légali

2 s grand docteur de son époque, devient le premier héros historique de l’amour-passion, c’est-à-dire de l’amour traversé, en b

3 ne survit pas à sa naissance, d’où le nom même du héros . Le roi Marc de Cornouailles, frère de sa mère, prend l’orphelin à sa

4 hartreuse de Parme, ou le digne et terne mari des héroïnes bourgeoises, de Balzac à Flaubert, voire le cocu des pièces de Boulev

5 celle qui se prête aux fantasmes de l’homme. Le «  héros  » (comme on le dit encore des personnages de roman les plus falots) d

6 chevalier à l’amoureux transi des romantiques, du héros empanaché de l’Astrée au conteur lucide et sensible du grand roman de

7 s isolés, il n’y a pas d’amour possible », dit le héros de L’Homme sans qualités de Robert Musil. Et il ajoute : Un amour pe

8 d’un décret de Boileau, dans son Dialogue sur les héros de roman, pour réduire à l’oubli la féerie romanesque des d’Urfé, Gom

9 le toutes les règles de la cortezia et devient le héros du siècle où les cyniques donnent le ton aux mœurs et à l’esprit. Or,

10 tabous que l’époque respecte encore. Mais déjà le héros de Lolita nous est décrit comme un antihéros, c’est-à-dire un malade