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comme au temps d’Aristote la gestion des rapports
humains
dans la cité. Que le Conseil en soit remercié par les Douze, en tant
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nature, et finalement pour la survie de l’espèce
humaine
. Qu’il s’agisse de la pollution résultant de la production industriel
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ma part Rapport sur la dégradation des relations
humaines
et la dissolution des liens communautaires. On y décrirait le désert
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être transposée du plan théologique à celui de l’
humain
, par Augustin d’abord, lequel estime que l’homme, étant fait à l’imag
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me », de la Deuxième Personne divine, la personne
humaine
est devenue la coexistence en tension de l’individu naturel et de ce
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écessairement entraînerait dans sa perte l’espèce
humaine
. Car l’homme ne peut rien contre Dieu, tout contre l’homme. Quand on
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, la patrie n’est ni petite, ni grande : elle est
humaine
. Ses limites — si limites il y a — ne peuvent être indéfiniment diste
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s’établissent nécessairement toutes les relations
humaines
. Cette omnipotence étatique ne paralyse pas seulement les rapports en
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situation). Par contre, la situation n’a de sens
humain
qu’en fonction de l’attitude de l’homme. (ON 38) Le Plan sans cont
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tuel « plan » économique fasse appel aux ressorts
humains
de l’économie : solidarité, collaboration, initiative, émulation, lut
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à la fois intelligente et libre — de la personne
humaine
, créatrice de communautés. (ON 37) L’état totalitaire n’est pas aut
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haut9, qui concluait qu’une situation n’a de sens
humain
qu’en fonction de l’attitude de l’homme. Je conclus pour ma part que
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» 7. Entre-temps Léon Blum a publié À l’Échelle
humaine
. 8. Je voudrais dédier cette citation aux ouvriers de Lip, qui pours
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t pas fonction du territoire occupé par le groupe
humain
qui en est le porteur. Les Suisses sont les dépositaires d’une grand
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(qui englobe les sciences exactes, naturelles et
humaines
, et l’urbanisme, aussi bien que la philosophie, les arts, les lettres
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visages n’existent à vrai dire que pour notre œil
humain
auquel ils n’apparaissent qu’en vertu d’une opération mal explicable,
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ère, inversant l’ordre trinitaire comme le miroir
humain
reflète l’image énigmatique du divin, procèdent authentiquement du mê
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iques ; et encore moins à perpétrer sur le visage
humain
une défiguration systématique, délibérément délirante, comme Picasso
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choisir librement son avenir et celui de l’espèce
humaine
; et il y est contraint du seul fait qu’il en a, pour la première foi
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en compte les dangers écologiques et les risques
humains
autant que les avantages économiques d’un projet, pour établir son co
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vers visible ne serait plus qu’une sphère d’êtres
humains
, dont le diamètre s’allongerait à la vitesse de la lumière. Et je fa
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ls ont calculés, et de se référer à des finalités
humaines
ou divines qui pourraient seules permettre de récuser les prétendus «
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orcer à s’intégrer ou à respecter des communautés
humaines
qu’elles bafouent ouvertement aujourd’hui. Il y en aurait deux : le p
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anouira un jour en arbre, en éléphant ou en corps
humain
. Tout cela est bel et bon, la croissance, c’est la vie, la loi de la
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t un corps sans son programme de vie : l’individu
humain
passerait ainsi de 30 cm à 1,75 m en vingt ans, puis atteindrait une
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xponentielles dépassaient toute espèce de réalité
humaine
praticable et qu’elles monteraient très vite. Qu’elles parviendraient
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ècle, à des altitudes irrespirables, où tout être
humain
disparaîtrait, où les ressources de la terre seraient épuisées, dans
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t qui ait eu un impact comparable sur une société
humaine
. J’ai eu de vives discussions à Bruxelles il y a quelques mois, avant
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u revenu par tête d’habitant n’est pas une mesure
humaine
qui puisse diriger une politique, il faut absolument abandonner ça, e
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’appelle « politique » l’aménagement des rapports
humains
, dans une communauté donnée, l’équilibre entre la hiérarchie des beso
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es. Fédéralisme, seul régime possible d’un avenir
humain
de l’Europe ! Il est menacé, nous dit-on ? Rien de tel pour tirer un
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Helveticus sum… : Je suis suisse, je suis un être
humain
, je suis un pécheur. 17. Nuançons : la culpabilité est aussi un état
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, celle des plantes, des animaux et de l’individu
humain
, croissance qui, elle, comporte son programme génétique, ses propres
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faut que la firme produise toujours plus. La vie
humaine
se voit dès lors subordonnée au rendement. Opposer à cette notion cel
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sif, se situe donc dans la définition des besoins
humains
. La société industrielle, quoi qu’on en dise, n’est pas née pour sat
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u fondement de tout le respect de chaque personne
humaine
, là où la société industrielle respectait avant tout le profit, non m
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incipe de démesure systématique, destructeur de l’
humain
autant que de la nature. Dans la nouvelle société, le progrès recherc
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à la délinquance. Cette dégradation des relations
humaines
, née des grandes villes, devrait à mon sens faire l’objet d’un nouvea
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à s’interroger. Et ce n’est qu’au nom de ses buts
humains
en tant qu’État fédératif qu’elle peut dorénavant justifier ses optio
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icité », « prostitution spirituelle ») —, l’amour
humain
devait fatalement devenir une source intarissable de problèmes, tant
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ue ces arrêts des juges représentent pour un être
humain
. Le crime que Boukovski paie et qu’il devra continuer de payer est ce
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nal, et de faire prévaloir l’intérêt général de l’
humain
, de la personne, sur celui des États nationaux. Le jeu se rouvre, l’a
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es, omnivalentes, à tous les ordres de la réalité
humaine
. Les régions nécessaires ne sont pas ethniques d’abord, et encore moi
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mmunauté ! Et c’est la nostalgie d’une communauté
humaine
restaurée, d’un lien de participation réelle, de luttes communes, d’a
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ouverte à tous vents de l’esprit et tous échanges
humains
. Lors du congrès de Vienne, en 1815, les hommes d’État de la Sainte-A
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roblème de vie ou de mort pour un demi-milliard d’
humains
, leur culture (dont l’Université est un élément) et leurs manières de
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compte. Qu’en est-il dans le domaine des sciences
humaines
? Je serais tenté de revendiquer la qualité de « recherche fondamenta
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dèle de société que je récuse radicalement. Car l’
humain
s’y voit sacrifié non pas même au Profit (ici très négatif) mais à la
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s encore et même d’abord en connaissance des fins
humaines
auxquelles chaque modèle nous conduit. Deux volontés, deux forces, de
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Il désigne d’une part l’aménagement des relations
humaines
dans la communauté (polis, donne politique, civitas donne civisme), d
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re atomique, c’est-à-dire de la fin de l’histoire
humaine
. Il est non moins clair que personne n’a jamais osé dire, ni même lai
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patrie de ce qu’on nomme aujourd’hui les sciences
humaines
. Ferdinand de Saussure fonde la linguistique, d’où naîtront les doctr
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ssiste à une dramatique dégradation des relations
humaines
. Mais ces États que vous dénoncez ont quand même édifié au cours des
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toutes ses activités. Le sens de la communauté
humaine
doit renaître Et pourtant ! les occasions ne lui ont pas manqué de
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À la fois cri d’alarme et désespérance. L’espèce
humaine
est arrivée à une crise majeure. Si elle ne se ressaisit pas, si elle
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rticipation, de la communication et des relations
humaines
. Comment encore être un citoyen ! Nous, nous avons compté sur l
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sa redistribution. Les régions, les collectivités
humaines
ou professionnelles, les groupes de base doivent se réapproprier le p
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’une « nature européenne » (comme on dit « nature
humaine
») que les colonisés auraient raison de haïr. Aujourd’hui, Sartre sig
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lence ? Dès que l’on se prononce sur les affaires
humaines
, je pense qu’il vaut mieux être du côté du roi Marcbn, qui symbolise
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librement notre avenir, il n’y aura plus d’avenir
humain
au-delà du cataclysme inévitable que les rares survivants ne raconter
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aclysmes ? La voici : « Il n’y aura plus d’avenir
humain
au-delà du cataclysme inévitable que les rares survivants ne raconter
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ent, vous n’êtes pas très optimiste sur la nature
humaine
. Je dirai que, quoique Suisse, je ne suis pas du tout rousseauiste :
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cet infatigable défenseur des plus hautes valeurs
humaines
. S’il adopte dans son livre le ton du prophète, c’est que notre espèc
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lièrement frappant de la manipulation des besoins
humains
nous est fourni par le développement de l’automobile. Denis de Rougem
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voiture ne correspondait au départ à aucun besoin
humain
existant (les Américains trouvaient ce moyen de locomotion bruyant et
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gie proviendra des finalités, des buts proprement
humains
que nous nous fixerons… C’est d’ailleurs à une morale du but que Deni
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r de créer une société plus amicale, où les êtres
humains
auraient la possibilité de communiquer, de ne plus vivre comme la « f
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e Nature », mais la transfiguration de la société
humaine
, c’est-à-dire la personne réalisée dans la communauté. 2. Pourquoi
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ités économiques » des ministres, mais au besoins
humains
des citoyens, qui constituent l’impératif prioritaire, que les techno
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onction de l’automobile. On a dépassé les limites
humaines
et des utopies se sont réalisées pour plaire à l’auto et au pétrole.
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librement notre avenir, il n’y aura plus d’avenir
humain
au-delà du cataclysme inévitable que les rares survivants ne se racon