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’est-à-dire de la réalité physico-affective, de l’
idéal
commun, et du service public que devrait demeurer l’état, a tout faus
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radictoire dans les termes, impraticable. C’est l’
idéal
qu’affirment les juristes et les chefs d’État, et c’est là leur hypoc
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lisme, et dans un égoïsme qui dément leurs grands
idéaux
officiels ? Cette réaction fondamentale — et plus générale qu’on ne l
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’importe lequel des États-nations actuels, dont l’
idéal
est le nivellement universel, parce qu’il est plus facile d’administr
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es trois mythes illustrent davantage le rêve ou l’
idéal
de « l’amour plus fort que la mort » que la passion de « l’amour pour
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Voici mon univers, mon espoir, et mes dieux ! » L’
idéal
donjuanesque, comme la légende qu’il inverse, donnera lieu à toute un
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s la tradition de sa famille le modèle de l’amour
idéal
, cette cortezia que, pour se venger de l’existence, il entreprend d’i
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des Cent journées de Sodome, cette inversion de l’
idéal
courtois, aussi ardent que lui à poursuivre l’impossible, aussi incom
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avec la vie vécue, et que J. Huizinga nommait « l’
idéal
de la luxure ». On pourrait croire que cette littérature anticourtois
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sans raison, aient tenu à souligner qu’elle était
idéale
et au mieux normative, plutôt que réaliste et descriptive. (Mais n’es
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en en train de se défaire. Ce n’est pas une forme
idéale
à rejoindre, ni quelque chose qui aurait existé historiquement et que
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l’homme, la cité et la nature, une société dont l’
idéal
directeur soit la liberté des personnes assurées par la participation
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promoteurs de Concorde sont animés par un certain
idéal
: c’est celui du Progrès selon le xixe siècle. Toujours plus d’objet
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de ces deux entreprises les suites logiques de l’
idéal
matérialiste du Progrès combiné avec la réalité toujours plus totalit
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là ? J’entends que, à l’Est comme à l’Ouest, les
idéaux
de progrès matériel, de production industrielle et de consommation il
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a Grèce antique, berceau de la démocratie, modèle
idéal
d’une société qui était tournée vers l’homme. Nous avons perdu cette
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icule, aussi aberrant que l’on voudra. C’était un
idéal
commun, et terriblement effectif. Alors, si un phénomène semblable se
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in des cités grecques ! C’est pour vous le modèle
idéal
? Absolument ! Et chose extraordinaire on commence à y revenir aujour
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é à la fin de sa vie à la conclusion que la ville
idéale
ne doit pas dépasser 50 000 habitants. C’est fantastique, vous compre
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. Au fond, la guerre c’est, pour l’État, le moyen
idéal
de parvenir à ses fins ; dès que la patrie est en danger, il n’y a pl
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Ils veulent tout à la fois. Ils épousent de bons
idéaux
, mais en réalité, ils font tout autre chose. Alors, on prêche dans le
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un homme criant sur l’agora. Pour Platon, la cité
idéale
devrait compter 5040 citoyens libres, c’est-à-dire environ 50 000 hab
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ar C. Doxiadis, et par les architectes de la cité
idéale
d’Auroville (Inde). 4. Diminuer le nombre des étages, puisqu’il est d