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dans l’ensemble à un dilemme fondamental entre l’
impératif
catégorique, qui est moral, et les impératifs technocratiques, qui so
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re l’impératif catégorique, qui est moral, et les
impératifs
technocratiques, qui sont des questions de gros sous, quand ce n’est
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rière de prétendues « fatalités », de prétendus «
impératifs
», — comme Adam court se cacher dans les buissons quand Dieu l’interp
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l est loin de la vie quotidienne. » Les notions d’
impératif
technique et d’impératif de l’économie se révèlent à leur tour valeur
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idienne. » Les notions d’impératif technique et d’
impératif
de l’économie se révèlent à leur tour valeurs fausses et même d’un ri
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us des « fatalités » alléguées et de soi-disant «
impératifs
techniques », on nous empêche d’élaborer une politique responsable, e
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aient seules permettre de récuser les prétendus «
impératifs
techniques » derrière lesquels l’homme moderne court se cacher, comme
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us faut faire des centrales nucléaires ; c’est un
impératif
technique et économique, parce que la consommation d’électricité » (ç
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faire des ordinateurs, ce n’est pas l’affaire des
impératifs
X et Y, c’est leur affaire. Souvent les gens n’aiment pas être respon
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ns devenus invétérés, pour invoquer les prétendus
impératifs
de leur croissance provoquée. Le meilleur exemple que l’on puisse don
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qui soumet l’homme aux forces matérielles, aux «
impératifs
techniques », et aux « nécessités économiques », dont les clés sont d
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xercer. Et nous sommes un peu ahuris par tous ces
impératifs
technologiques, ces nécessités économiques, ces nécessités de la défe
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éreraient rentables, quand il serait réellement «
impératif
» que la consommation d’énergie double tous les dix ans, je serais co
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n là, justement, tout le problème. Il n’y a aucun
impératif
à cela. Ce sont encore des « experts » qui ont inventé cet « impérati
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sont encore des « experts » qui ont inventé cet «
impératif
» ! Ils nous disent : « Si on n’a pas recours au nucléaire, on devra
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est né méchant et faible et tâche d’utiliser des
impératifs
imaginaires de toute espèce pour continuer à agir à l’abri de tout ça
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ant : « Ce n’est pas moi qui le veux, ce sont les
impératifs
. » Exactement comme Adam, quand Dieu est venu le chercher au Paradis
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s’est trompé sur ses vrais besoins. « Il n’y a d’
impératifs
que de la nature » et nous devons lutter contre les technocrates, con
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me économique, une fois mis en place, obéit à des
impératifs
de « toujours plus » qui conduisent à l’absurde. D’autre part, la pui
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ou continuer à partir de la technique et de ses «
impératifs
» allégués par les promoteurs et les ministres dont ils sont les expe
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La ville de demain n’aura plus à répondre aux «
impératifs
techniques » des promoteurs, ni aux « nécessités économiques » des mi
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u besoins humains des citoyens, qui constituent l’
impératif
prioritaire, que les technologies doivent servir. Pratiquement : 1. D