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te d’anorexie civique, d’un fatalisme qui devrait
inquiéter
bien plus encore que les prévisions du club de Rome, car c’est lui qu
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lement devant Maritain mais devant l’Église qui s’
inquiète
(il a pu craindre, en 1936 précisément, une condamnation d’Esprit en
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s’est borné à s’exposer lui-même. Tout cela peut
inquiéter
ou amuser. Tout cela m’a souvent passionné. On peut tout faire, on do
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site pas à écrire : « Celui qui n’est pas marié s’
inquiète
du Seigneur, des moyens de plaire au Seigneur, et celui qui est marié
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s de plaire au Seigneur, et celui qui est marié s’
inquiète
des choses du monde, des moyens de plaire à sa femme » (I Cor. vii, 3