1 vous protestez, comme vous le faites tous, chaque jour , contre les formes les plus diaboliquement variées de l’aliénation, j

2 ur autrui, il est fatal que l’État s’en empare un jour ou l’autre. Car l’État réclame en effet la totalité des allégeances,

3 pas sur cette chose qui se lamente 12 heures par jour à la radio. Car aimer son prochain comme soi-même est un commandement

4 e rappeler, et l’on se voyait à peu près tous les jours … Du point de vue religieux, qui est capital, en dépit de ce que pense

5 elis — comme je viens de le faire depuis quelques jours — ce qui me reste des numéros de L’Ordre nouveau , de 1933 à 1938, e

6 déraliste de l’État-nation. On le retrouve de nos jours dans les écrits de J. Buchmann, de Robert Lafont, d’Hervé Lavenir, de

7 on française, je me voyais chargé d’écrire chaque jour deux « shows » de quinze pages chacun, lus au micro par des équipes d

8 a mort de sa belle-mère, survenue il y a quelques jours . La lettre bleue est de Pierre Girard, personnage imprévisible s’il e

9 enveloppe grise pliée en V derrière la porte sans jour de la boite métallique. J’ai passé ma robe de chambre et suis descend

10 le, devant un bloc de papier blanc. Pendant trois jours et nuits de travail, j’ai écrit cinquante pages, un quart du livre. J

11 ne panne de quartier, en sorte que je ne « vis le jour  » qu’à la lueur d’une lampe à pétrole hâtivement allumée et que tenai

12 gurale de deux instituts universitaires réunis ce jour -là, celui des hautes études internationales et celui des études europ

13 itôt, puisqu’elle les a si bien gardés jusqu’à ce jour , des utopies de type jacobin, bolchéviste, anarchiste, fasciste ou na

14 m théologique, le sujet même du chef-d’œuvre à ce jour de Théodore Strawinsky, les fresques de l’église de Gennep — en même

15 , pour la première fois, la liberté. Jusqu’à nos jours , depuis le singe, ou depuis le jardin mythique des origines, l’homme

16 t l’adage. Mais qui prévoit ? Vous lisez tous les jours dans la presse les déclarations les plus contradictoires relatives à

17 bien que la croissance démographique s’arrête un jour . La croissance démographique ne peut pas être illimitée. Il faudra b

18 ée. Il faudra bien que quelque chose l’arrête, un jour ou l’autre. Si l’on ne veut pas que ce soit une catastrophe, il faudr

19 fond du Middle West, à huit miles de Detroit, le jour où un garçon de 12 ans et demi, Henry Ford, fils d’un paysan, rencont

20 0, 35 000. En 1924, il fabrique 7500 voitures par jour . Aujourd’hui, les USA produisent douze millions de voitures par an. L

21 mains et par les communes médiévales, jusqu’à nos jours . Enfin, la crise monétaire mondiale est due principalement, m’expliqu

22 qui rachètent des dizaines d’entreprises tous les jours . Les chiffres sont absolument étonnants, quelles que soient les mesur

23 nt de l’ours russe. Eh bien, il a été démontré ce jour -là que la souveraineté nationale absolue était un mythe. Moi je deman

24 e contraire et on sera bien obligé de le faire un jour ou l’autre. Il aurait fallu une étude des besoins d’une population, d

25 ui commence par un germe invisible s’épanouira un jour en arbre, en éléphant ou en corps humain. Tout cela est bel et bon, l

26 la terre en énergie. Il faudra bien s’arrêter un jour , alors, autant y penser tout de suite. Il me paraît essentiel pour to

27 ont il faudrait que les sociologues s’occupent un jour pour voir comment se transmet ce genre de réflexe. Si « le génie du l

28 terribles, quand Breton n’était pas d’accord. Un jour , par exemple, nous avions décidé de faire un banquet consacré au nomb

29 e et dont il aurait été un des grands prêtres. Un jour , nous parlions des sectes cathares, avec un ami. Il écoutait d’une or

30 e loisirs, la diminution du nombre des heures par jour , des jours par semaine, et des années d’activité minutées à l’usine o

31 la diminution du nombre des heures par jour, des jours par semaine, et des années d’activité minutées à l’usine ou au bureau

32 appelle « une locomotive routière ». Il a vécu ce jour -là, dit-il, son « chemin de Damas » : « Dès l’instant où je l’aperçus

33 mas » : « Dès l’instant où je l’aperçus, jusqu’au jour présent, ma grande et constante ambition a été de construire une bonn

34 bles, ni en fait gouvernées, comme on le voit ces jours -ci à New York ; et les hommes y sont seuls en masse : livrés au scept

35 E. Mais des liens plus concrets se tissent chaque jour entre la Suisse et l’Europe. Le simple fait de l’agrandissement des t

36 , dans les formes réglées de la guerre et, de nos jours , dans les mass médias audiovisuels. On s’en tiendra ici à la littérat

37 el féminin », dira Goethe. La dialectique du vrai jour et de l’évidence quotidienne qui domine le roman est gnostique… Ainsi

38 Swann croit être amoureux parce qu’elle a dit un jour que « non, elle ne serait pas libre demain soir ». Elle est toujours

39 n’est plus ici que coquetteries, et le combat du Jour et de la Nuit se ramène à des jeux de pénombre. Entre les corps des d

40 fait [de tragédie] où la vertu soit plus mise en jour que dans celle-ci. Les moindres fautes y sont sévèrement punies […].

41 avoir jamais rien dit contre Staline mais l’autre jour dans votre sommeil, vous avez rêvé de le tuer. On vous a interrogé so

42 es rives — contre le mercure qu’on déverse chaque jour dans le lac, au point que la lotte n’est plus comestible. Les concent

43 uvantables, du type japonais, sont possibles d’un jour à l’autre dans notre région. Il y a là une tâche énorme à accomplir e

44 el la première Communauté européenne a pu voir le jour . Mais lui-même, comme jeune homme, s’était rêvé un avenir tout différ

45 il irait lui-même jusqu’au but. Il m’avait dit un jour de 1960, dans un moment de confidence : Je suis sans doute trop vieu

46 capés de ces deux ou trois-cents qui ont tenté un jour d’exister pour disparaître après quelques saisons, faute des subventi

47 ls ne trouvaient pas de formule efficace. Un beau jour de 1950, Igor Markevitch vint me voir. Je lui avais écrit tôt après l

48 ’est grâce aux festivals qu’on s’est remis de nos jours non seulement à jouer Hamlet sur les remparts d’un château médiéval,

49 ture européenne. « L’art est l’état d’esprit d’un jour de fête », disait Flaubert. Et la définition citée plus haut rappelai

50 essens comme sans le connaître, qui apparaîtra un jour comme étant le principal de ce que j’avais à faire passer, dans le ca

51 salle de dix mille places. Je demandais quelques jours « pour réfléchir » et n’en fis rien, certain qu’avant le terme fixé,

52 « C’est la paix ! », me dit-on. (On le croyait ce jour -là !) C’est aussi toute la vie qui se reprend à vivre, les délais à c

53 et ermite du xve siècle était bien pâle. Mais ce jour -là, je reprends le livre et je découvre un personnage fascinant. Myst

54 ands ou hollandais, suisses ou anglais. En quatre jours de congrès, le cadre de l’action européenne est posé, le but ultime b

55 formulées pour la première fois durant les quatre jours du congrès. Derrière Montreux, il y a toute une action, encore très p

56 inistres français, la veille, que de la presse ce jour -là, puis de l’opinion européenne et finalement des parlements, que le

57 on Schuman n’hésite pas à titrer : « Neuf mai, le jour où l’Europe est née ! » Comme si l’Europe se limitait aux Six, comme

58 enne », Les Hommes d’État célèbres. De 1920 à nos jours , vol. 6, Paris, Mazenod, 1977, p. 238-243.

59 parlons ici de Robert Schuman, c’est parce qu’un jour de mai 1950, sous l’apparence du prudent politicien et du célibataire

60 el la première Communauté européenne a pu voir le jour . Mais il s’était rêvé tout autre chose, homme de méditation et de cul

61 il irait lui-même jusqu’au but. Il m’avait dit un jour de 1960, dans un moment de confidence : Je suis sans doute trop vieu

62 ière », Les Hommes d’État célèbres. De 1920 à nos jours , vol. 6, Paris, Mazenod, 1977, p. 254-257. af. On a intégré les corr

63 utes les religions, unissez-vous ! (1977)ac Un jour , dans notre jardin de Ferney, où les Corbin s’arrêtaient quelquefois,

64 rouches gardiens qui se tiennent auprès, jusqu’au jour où il dit à l’un d’eux : Mais personne n’est jamais entré ni sorti, d

65 s les « hérétiques » malgré eux : ceux qui ont un jour compris qu’ils étaient bien forcés d’inventer leur chemin sans aucune

66 olitique français qui, quand on lui demandait, un jour  : « Que faites-vous devant un problème insoluble ? », répondait : « E

67 t parce que le pouvoir ne se sent que trop de nos jours , et que cela s’accompagne d’un sentiment d’impuissance croissant dans

68 e est celui de notre époque, j’ai trouvé, l’autre jour , et après coup, la formule la plus simple pour ce que je voulais dire

69 et d’entretenir une guerre. Il est clair comme le jour que le choix des centrales nucléaires et des usines de retraitement d

70 l qui permet de faire des bombes, augmente chaque jour les chances de la guerre atomique, c’est-à-dire de la fin de l’histoi

71 nos cantons. Si ces conflits sont apaisés de nos jours , voilà qui n’est pas dû seulement au long travail de l’œcuménisme dan

72 nous voici seuls responsables. Car si jusqu’à nos jours l’avenir était complètement inconnu, s’il dépendait des catastrophes,

73 essé de hanter l’imagerieat populaire. Et, de nos jours , c’est encore plus sensible car, qu’on le veuille ou non, c’est parce

74 sme pour l’idée européenne est plutôt rare de nos jours . Même pour les « grands intellectuels », ce n’est pas un thème très m

75 re européenne et que celle-ci ne pourrait voir le jour que si l’Europe politique devenait une réalité. J’étais ravi. Or, peu

76 ne ne pouvait alors prévoir que Hitler aurait, un jour , l’impudence de s’approprier l’expression. Quant au fond, il ne faut

77 ouvé la réponse. Mais vous entendez dire tous les jours  : « Ça n’est plus un problème, ça a été réglé. » Les gens qui profère

78 ne sont pas nés hier ? Parce qu’il y a eu, de nos jours , une espèce d’accélération et que le danger de la chose apparaît main

79 e quel point. C’est une image un peu naïve de nos jours . Bien sûr, il s’agit — là encore — d’un modèle mais il n’est pas si n

80 oir ? Car c’est une vérité dont il faudra bien un jour s’aviser : le pouvoir politique n’existe plus, le pouvoir n’est pas à

81 e l’homme libre et responsable. Nous avons de nos jours une opposition entre les gens qui veulent la puissance (au niveau des

82 ). Les prix de tous les éléments varient tous les jours  : cela ressemble au jeu de croquet d’Alice au pays des Merveilles où