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me allemand, lu et vécu, à Vienne, à Budapest, au
lac
de Garde, en Souabe — fasciné par le surréalisme tout en dénonçant se
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ntre le mercure qu’on déverse chaque jour dans le
lac
, au point que la lotte n’est plus comestible. Les concentrations devi
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tionale » est une absurdité. Prenons l’exemple du
lac
Léman, puisque nous l’avons sous les yeux : il est en train de se pol
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nis de Rougemont, de sa retraite dorée du bord du
lac
Léman, prêche dans le désert. On pardonne tout aux prophètes, sauf d’
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chapeau suivant : « Sur les rives tranquilles du
lac
de Neuchâtel [sic], là où Jean-Jacques Rousseau passa un hiver, vit u