1 on centralisé où ils se voient perdus, n’est plus leur affaire, ne peut que les brimer, et les oblige à s’évader dans la dro

2 e. Elle est née de l’Europe, de ses valeurs et de leurs conflits ; et des guerres aussi, dans lesquelles nous avons entraîné

3 uelles nous avons entraîné toute la planète. Or à leur tour, ces guerres sont nées de nos nationalismes. Et voici qu’apparaî

4 permet de choisir, ordonne nos choix, et définit leur sens. Face à la Crise mondiale, nous avons l’impression que quelque c

5 irait intemporelles et universelles, mais qui ont leur date et leurs coordonnées spatiales. Notre notion de la personne s’es

6 relles et universelles, mais qui ont leur date et leurs coordonnées spatiales. Notre notion de la personne s’est constituée a

7 e sujet, il n’y a plus rien. Il ne reste rien que leurs livres, et leur nom sur ces livres — mais pourquoi ? Marx, en revanch

8 plus rien. Il ne reste rien que leurs livres, et leur nom sur ces livres — mais pourquoi ? Marx, en revanche, dénonçant en

9 hnique et d’impératif de l’économie se révèlent à leur tour valeurs fausses et même d’un ridicule moliéresque. Elles ne sont

10 , soit de la volonté de puissance des États et de leurs grandes agences techniques, soit du profit privé des sociétés, soit e

11 -mêmes et qui par suite ne valent rien pour aimer leur prochain. Car toute la tradition hébraïque et chrétienne qui a formé

12 s, et rendent vaine notre idée de participation à leur gestion, donc de civisme. Participation et civisme ne reprendront un

13 réation de petites communautés qui, pour défendre leur autonomie, seront amenées à se fédérer et donc à pratiquer la seule m

14 ns et permutations entre les groupes naissants et leurs animateurs, et cela durant une période que je puis facilement délimit

15 ul à collaborer régulièrement aux deux revues, de leur numéro 1 jusqu’à la guerre. Mais le fait est que Marc et moi étions f

16 l’occupation des usines, niant, contre Léon Blum, leur « illégalité ») et du Précis Ordre nouveau : pour la liberté, Mounier

17 ietzschéens (tous les trois rejoindront plus tard leur « foi »). Enfin, Marc va devenir catholique, en 1933. La résultante d

18 la patrie. (ON 39) Mais grâce aux jacobins et à leur disciple Napoléon, la confusion de la patrie, de la nation et de l’Ét

19 e et de la nation conduit donc à les identifier à leur tour avec l’état, c’est-à-dire à concentrer l’existence de la nation

20 us conséquente des erreurs contemporaines : c’est leur commun dénominateur. L’URSS du camarade Staline et la France de M. Le

21 che future sur les frontières différenciées selon leurs fonctions (nationale, ethnique, économique, administrative, etc.), re

22 justifie, tout d’abord, par le fait que, grâce à leur stabilité, un minimum d’ordre matériel peut être assuré régulièrement

23 ions sociales et des communautés, des cités, puis leurs fédérations : et c’est en route vers l’universel que l’Europe apparaî

24 tte citation aux ouvriers de Lip, qui poursuivent leur lutte, pendant que j’écris ceci, dans la pure tradition de Proudhon,

25 j’écris ceci, dans la pure tradition de Proudhon, leur concitoyen franc-comtois. 9. Structure antinomique de la personne.

26 rait pas que cette modestie les empêche d’assumer leur vocation. Lorsqu’il m’est arrivé de soutenir quelques idées sur le rô

27 ien pratiquée pendant des siècles. Cette idée est leur histoire même. Bien avant d’être leur « message » (au moins virtuel),

28 te idée est leur histoire même. Bien avant d’être leur « message » (au moins virtuel), elle a été le principe de leur union,

29 e » (au moins virtuel), elle a été le principe de leur union, la formule de leur identité, la condition de leurs libertés. S

30 le a été le principe de leur union, la formule de leur identité, la condition de leurs libertés. S’unir entre groupes autono

31 ion, la formule de leur identité, la condition de leurs libertés. S’unir entre groupes autonomes à seule fin d’assurer à tous

32 à-dire une recette exportable. C’est le secret de leur réussite. Il faut donc le garder jalousement. Et il ne doit à aucun p

33 venir un isme, transportable, imitable au-delà de leurs frontières. Sagesse paysanne et toute païenne : n’avoue pas, ne dis p

34 n que l’essentiel : la volonté de rester libres à leur manière — et seule l’union confédérale le permettait. Il y a très loi

35 été motivées par la double nécessité de protéger leur autonomie et de s’unir pour affronter des tâches excédant les forces

36 , il en existe aussi, et de plus en plus, qui par leurs dimensions (économiques, financières, énergétiques, spatiales) dépass

37 ats européens et demandaient la mise en commun de leurs ressources. Cet exemple mérite de demeurer classique, tant en vertu d

38 s, que les régions ne sauraient entreprendre pour leur compte. Elles constitueront des banques de données accessibles à tous

39 ons qui divisent l’Europe ont en moyenne, quant à leur tracé actuel, un peu moins de cent ans d’âge, tandis que le rythme de

40 met plus de peindre un beau paysage ni les yeux à leur place dans un visage. Depuis vingt ans au moins toute une critique pr

41 s par les indications les plus concises, révélant leur essence et leur qualité d’être, mais laissant transparaître partout l

42 tions les plus concises, révélant leur essence et leur qualité d’être, mais laissant transparaître partout la texture de la

43 siècle. Byzance et Rome s’embrassaient au lieu de leur rencontre créatrice. On ne le répétera jamais assez : ce dont l’Égl

44 is un économiste des plus sérieux, Raymond Barre, leur répond — et je le cite — que ces réserves sont « pratiquement inépuis

45 va doubler désormais tous les sept ans, et si on leur demande comment ils le savent, ils répondent qu’il s’agit d’un fait s

46 tout simplement de faire passer pour « fatalité » leur désir de doubler leurs ventes. Leurs experts confondent délibérément

47 re passer pour « fatalité » leur désir de doubler leurs ventes. Leurs experts confondent délibérément la prospective et le m

48 « fatalité » leur désir de doubler leurs ventes. Leurs experts confondent délibérément la prospective et le marketing, détou

49 e formuler une politique. Or nous voyons que dans leur majorité, les futurologues calculent un avenir de catastrophes, que c

50 les deux vont rencontrer dans un temps calculable leur limite. Déjà, leur succès même commence à produire leur propre mise e

51 ntrer dans un temps calculable leur limite. Déjà, leur succès même commence à produire leur propre mise en échec. La croissa

52 imite. Déjà, leur succès même commence à produire leur propre mise en échec. La croissance démographique et la croissance in

53 aculaires que soient les catastrophes prévues par leurs méthodes plus ou moins rigoureuses, elles me font bien moins peur que

54 00, ils donnent un bref tableau (n° IV) de ce que leur méthode n’eût pas permis de prévoir, si elle eût été appliquée vers 1

55 des communautés réelles qu’ils ont enfermées dans leurs frontières, mises au pas, uniformisées et vidées de leur vitalité. Le

56 ontières, mises au pas, uniformisées et vidées de leur vitalité. Les personnalistes annoncent d’ailleurs le succès des grand

57 leurs le succès des grands dictateurs, succès qui leur paraît inévitable — pour un temps —, du seul fait que les dictateurs

58 apportent une réponse au grand appel qui monte de leur peuple vers une communauté nouvelle. Cette réponse est mauvaise, voir

59 Ils ont géré et détruit ses ressources en vue de leur seule puissance et de leur seul prestige ; en vue de la guerre, dont

60 s ressources en vue de leur seule puissance et de leur seul prestige ; en vue de la guerre, dont tous sont nés. Ils ont créé

61 dental, des seules frontières nationales, et pour leurs seuls intérêts, fussent-ils contraires aux intérêts de leurs habitant

62 intérêts, fussent-ils contraires aux intérêts de leurs habitants et de l’humanité en général. Comme le fait voir leur procéd

63 s et de l’humanité en général. Comme le fait voir leur procédé de mesure, le PNB (que je voudrais appeler Prestige National

64 ue la France et la Grande-Bretagne ont dû stopper leurs opérations sur un froncement de sourcil du président des USA et un gr

65 rsité de ces réalités, et pouvant rendre fécondes leurs tensions innombrables, sans sacrifier l’un de leurs termes, c’est la

66 urs tensions innombrables, sans sacrifier l’un de leurs termes, c’est la fédération. Une simple confédération fondée sur des

67 ent les juristes et les chefs d’État, et c’est là leur hypocrisie. Je l’appelle l’amicale des misanthropes. Cela peut se dir

68 États actuels, et la plupart du temps chevauchant leurs frontières. Voilà pour le cadre continental. Plus important, plus neu

69 istant plus encore que n’importe quelle autre sur leur souveraineté absolue, être stoppées à 1h de leur victoire, à 1h du Ca

70 leur souveraineté absolue, être stoppées à 1h de leur victoire, à 1h du Caire par un froncement de sourcils de Monsieur Eis

71 oit compétitive avec un Land allemand ». Alors je leur dis : « avec quel Land ? » Par exemple avec le Land de Bavière, qui a

72 mais trop grands pour animer la vie civique, dans leurs régions, leurs provinces, leurs communes. Bien plus, les jacobins ont

73 s pour animer la vie civique, dans leurs régions, leurs provinces, leurs communes. Bien plus, les jacobins ont commencé par é

74 vie civique, dans leurs régions, leurs provinces, leurs communes. Bien plus, les jacobins ont commencé par écraser toutes les

75 dicalement des marxistes. Ils croient qu’une fois leur Parti au pouvoir, c’est-à-dire maître de l’État — c’est ce qu’ils app

76 Il les digère, il les phagocyte, quelle que soit leur idéologie, marxiste ou capitaliste, de droite ou de gauche, phalangis

77 pour faire pression sur eux et finalement diriger leur politique. Ou bien, si la politique d’un État à un moment donné paraî

78 ue d’un État à un moment donné paraît contraire à leurs intérêts, [elles] le renversent ce qui revient au même. Disons qu’il

79 allent et qui sont obligées par la nature même de leurs activités économiques de s’y intégrer. Il y a donc multinationale col

80 les viennent s’implanter et qui n’y cherchent que leur profit. Ce que je dis là ne vise pas à exonérer toutes les multinatio

81 mportance parce qu’ils croient à la publicité. On leur dit à la radio, à la télé, qu’ils ne peuvent pas vivre heureux s’ils

82 , mais qui fait qu’aussitôt que quelqu’un prétend leur apporter une réponse, ils marchent. Ils ont marché pour Hitler, sans

83 é pour Hitler, sans autre raison que celle-là. Il leur disait : « Suivez-moi et vous serez tous ensemble. » Et cela suffisai

84 ir d’en bas… Mais les gens ont changé, ont quitté leur région, quitté leur ville… En Suisse, qui donne toujours l’idée d’une

85 s gens ont changé, ont quitté leur région, quitté leur ville… En Suisse, qui donne toujours l’idée d’une grande stabilité, v

86 trême pour que les gens restent encore maîtres de leur destin civique. Mais avec l’Empire d’Alexandre, toutes ces normes ont

87 oirs. Les gens se réunissaient par quartier selon leurs professions. Ils étaient mis à l’écart de la communauté, celle-ci éta

88 faire comprendre aux jeunes aujourd’hui que c’est leur affaire. Ce n’est pas l’affaire de fatalités auxquelles on ne peut ri

89 n’est pas l’affaire des impératifs X et Y, c’est leur affaire. Souvent les gens n’aiment pas être responsables de leur sort

90 ouvent les gens n’aiment pas être responsables de leur sort, surtout quand on les cache derrière des fatalités comme Adam se

91 quel il rencontra André Breton, Marcel Duchamp et leurs amis. D’une conversation enregistrée qui s’est poursuivie une soirée

92 plutôt ses concitoyens. Sont-ils à la hauteur de leurs institutions ? Méritent-ils leurs privilèges ? Ne sont-ils pas en tra

93 à la hauteur de leurs institutions ? Méritent-ils leurs privilèges ? Ne sont-ils pas en train de s’enliser dans un épais maté

94 épais matérialisme, et dans un égoïsme qui dément leurs grands idéaux officiels ? Cette réaction fondamentale — et plus génér

95 s détachés de toute croyance ne se distinguent de leurs ainés que par une virulence particulière sur le chapitre des indignat

96 ce de ce qu’elles nous dispensent de nous mêler à leurs sanglants différends. Par notre modestie, nous payons à l’Europe bles

97 idérant les autres peuples, ils se réjouissent de leur liberté et de leur sagesse. Ce sont, par nature, des pharisiens de la

98 peuples, ils se réjouissent de leur liberté et de leur sagesse. Ce sont, par nature, des pharisiens de la politique, qui rem

99 t à le résoudre, ou qui l’auraient déjà tranché à leur manière. Que la critique de l’utilitarisme, du neutralisme, du morali

100 pas le meilleur moyen de les libérer. Il faudrait leur montrer des horizons plus vastes, qui soient les leurs. Mieux vaudrai

101 montrer des horizons plus vastes, qui soient les leurs . Mieux vaudrait donc, me semble-t-il, proposer que les Suisses s’élèv

102 roposer que les Suisses s’élèvent à la hauteur de leur régime fédéraliste, dont pas un seul de leurs censeurs n’a jamais sug

103 r de leur régime fédéraliste, dont pas un seul de leurs censeurs n’a jamais suggéré qu’ils l’échangent contre un régime total

104 vois pas ailleurs que dans les raisons d’être de leur communauté peu croyable mais vraie — ce miracle qu’il faut traduire e

105 onde le masochisme de certains écrivains auxquels leur ignorance des conditions réelles du progrès permet seule de se dire p

106 guibles. Ils ne seront jamais satisfaits, puisque leur formule même est de croître sans fin. Mais si elle ne consiste ni à f

107 étérés, pour invoquer les prétendus impératifs de leur croissance provoquée. Le meilleur exemple que l’on puisse donner d’un

108 es réduire sur le plan matériel ou physique, pour leur donner libre carrière dans les domaines moraux, culturels, spirituels

109 rands États croient devoir se doter d’armements à leur taille. Si l’on ne peut pas réduire la masse critique d’une bombe H,

110 les années 1945 à 1950 de ce siècle vont trouver leur expression la plus juste dans la formule par laquelle le conseiller f

111 rieuses, en attendant de devenir le champ clos de leur rivalité ; mais aussi par la reprise des relations diplomatiques avec

112 perdent un peu plus, et sans retour, à chacune de leurs « grandes » guerres, même victorieuses.) Ces données de base de la si

113 de voter le budget, entrent doucement en panique. Leur premier réflexe est de couper les dépenses culturelles et de recherch

114 it du budget militaire ou nucléaire. L’université leur réplique qu’il s’agit là d’un calcul faux, parce qu’à trop courte vue

115 unir pour le salut de ses peuples, le maintien de leurs libertés et de leurs coutumes particulières. Mais il se trouve, hélas

116 ses peuples, le maintien de leurs libertés et de leurs coutumes particulières. Mais il se trouve, hélas, que le fédéralisme

117 peuvent plus limiter la coopération fédéraliste à leur seul territoire actuel. Autrement dit, et pour paraphraser l’un des s

118 cantons, mais qu’ils sont désignés en fonction de leurs compétences particulières pour s’occuper d’un secteur de la vie publi

119 ’était formée par la fédération de trois cantons. Leurs chefs auraient fait un beau pacte en latin, l’écrivant de la main gau

120 de force pour préserver, chacune pour elle-même, leur autonomie et leur différence. L’une des choses qui sont le plus clair

121 server, chacune pour elle-même, leur autonomie et leur différence. L’une des choses qui sont le plus clairement soulignées,

122 t tous en train de s’unifier. Certains achevaient leur unité et d’autres la commençaient à peine, comme l’Allemagne et l’Ita

123 lisme consiste surtout à défendre les intérêts de leur petit État contre Berne, c’est-à-dire contre la fédération. Ramuz ava

124 contre l’implantation de centrales nucléaires sur leur territoire. Les Uranais défendaient la possibilité pour eux de vivre

125 ient la possibilité pour eux de vivre libres et à leur manière. Et cette possibilité était menacée depuis l’ouverture de la

126 e, la Suisse et l’Allemagne. Parce que c’est dans leur intérêt. Face à cette menace de leurs capitales respectives, les Fran

127 e c’est dans leur intérêt. Face à cette menace de leurs capitales respectives, les Français de Markolsheim et de Fessenheim,

128 ions de Kaiseraugst aux « trublions gauchistes ». Leurs groupuscules ne sont venus qu’après coup s’adjoindre à la grande majo

129 aient pas créée, et qui ne va pas exactement dans leur sens, car je ne vois pas comment des maoïstes ou des trotskystes pour

130 leçon de Kaiseraugst, parce qu’ils craignent pour leur niveau de vie ou plus exactement : leur consommation d’électricité. M

131 nent pour leur niveau de vie ou plus exactement : leur consommation d’électricité. Mais on ne peut pas avoir, comme on dit c

132 . Les Suisses n’y sont pas très bien préparés par leur forme d’esprit. En revanche, ils y sont particulièrement bien préparé

133 he, ils y sont particulièrement bien préparés par leurs institutions. Les institutions fédéralistes, en effet, se distinguent

134 utions fédéralistes, en effet, se distinguent par leurs petites dimensions. Or, dans le monde actuel, plus vous êtes petit et

135 que. Ou alors, s’ils avaient commencé là-bas avec leurs bombes atomiques, il n’y aurait même plus eu de place pour les soldat

136 iques » et psychanalystes de toute école prennent leurs repères, leurs modèles structurels et leurs termes de base dans la tr

137 hanalystes de toute école prennent leurs repères, leurs modèles structurels et leurs termes de base dans la tradition littéra

138 nnent leurs repères, leurs modèles structurels et leurs termes de base dans la tradition littéraire qui est la nôtre, d’Œdipe

139 mnation de l’inceste pèse donc sur les amants dès leur premier « aveu » sur le pont brûlant du bateau qui les ramène d’Irlan

140 réunion définitive des amants s’opère au prix de leur séparation suprême dans la mort, obstacle dernier, fin du « roman ».

141 e et se séparent, pour renouveler l’obstacle — et leur passion. L’inévitable et nécessaire socialisation de la passion se fa

142 ue des soupirants. Et si la mort qu’ils appellent leur est accordée, c’est sous la forme d’un évanouissement, dont ils se ré

143 anouissement, dont ils se réveillent pour épouser leur maîtresse. Happy Ending. Certes, tous les grands thèmes du mythe sont

144 es, tous les grands thèmes du mythe sont là, mais leur tragique s’est mué en élégante mélancolie : lois d’Amour, séparations

145 ois par des évêques qui bâtissent des palais pour leur maîtresse, comme à Salzbourg, casuistique, règlements ecclésiastiques

146 femmes ne sont plus objets d’adoration. Elles ont leur politique, leur stratégie subtile. « Les femmes de ce temps n’aiment

147 lus objets d’adoration. Elles ont leur politique, leur stratégie subtile. « Les femmes de ce temps n’aiment pas avec le cœur

148 nu la formule des Liaisons dangereuses de Laclos. Leur cruauté reste purement psychologique. Avec Sade, elle tourne aux sévi

149 issances latentes du cœur plus qu’elle ne traduit leurs pulsions. On a vu le rôle créateur de la conduite passionnelle des tr

150 antines » (Baudelaire) où ceux qui aiment situent leur vraie patrie. L’amour-passion (selon l’expression de Stendhal) devien

151 elui-ci les ait fomentés, comme le répètent, dans leur spiritual illiteracy [T. S. Eliot], trop de savants contemporains), c

152 interdits sociaux, légaux et religieux ont perdu leur valeur de tabous. Les romanciers savent bien que le roman véritable n

153 onnelles, frustrées par la technique et réclamant leur dû, peuvent provoquer des névroses collectives et des fureurs anarchi

154 l est naturel. On les condamne donc pour remettre leurs idées en place, en ordre ? Il faut se mettre à la place du magistrat

155 ité avec un grand V constituent la norme. Hors de leur église point de salut et c’est sincèrement qu’il le condamne. Un Solj

156 fondation de l’URSS. On enfermait ces gens et on leur disait : vous prétendez n’avoir jamais rien dit contre Staline mais l

157 stes troubadours dont quelques-uns moururent avec leurs amis cathares sur les bûchers de la première Inquisition. Est-ce que

158 voudraient non seulement influencer les gens dans leur comportement mais aussi dans leurs pensées. Les Russes et les Chinois

159 r les gens dans leur comportement mais aussi dans leurs pensées. Les Russes et les Chinois sont les seuls qui avouent ouverte

160 était donneur de mesures morales dans lesquelles leurs contemporains pourraient se reconnaître. Par leur œuvre ils donnaient

161 eurs contemporains pourraient se reconnaître. Par leur œuvre ils donnaient un sens aux mots comme les troubadours quelques s

162 rbois nous expliquent qu’il y a une nécessité, je leur demande laquelle. Rien ne nous oblige concrètement à avoir plus d’éle

163 ongtemps composée de neuf nations parlant chacune leur langue. C’est en vue de la guerre que les jacobins puis Napoléon ont

164 États ont eu naturellement plus de prétention que leurs prédécesseurs. L’État n’a que trois missions précises ; établir la ju

165 ritoires de la planète. Ils ont tout calculé pour leur guerre, dont tous sont nés, et selon l’obsession de puissance qui exp

166 puissance qui explique seule, sans la justifier, leur prétention à faire rentrer dans le lit de Procuste de leurs frontière

167 ention à faire rentrer dans le lit de Procuste de leurs frontières les langues et l’économie, les ressources du sous-sol et l

168 mmes et des groupes décident de reprendre en main leur destin à l’échelon local et régional, et de faire prévaloir l’intérêt

169 us d’espace libre, il n’y a plus que l’avenir qui leur échappe. Pas question de détruire l’État, mais de le distribuer aux d

170 dans les foules solitaires, dans le sentiment de leur impuissance devant leur destin collectif, et de la dissolution de tou

171 res, dans le sentiment de leur impuissance devant leur destin collectif, et de la dissolution de toute communauté à laquelle

172 on où les citoyens puissent enfin prendre en main leurs affaires communes — qu’il s’agisse de réalités culturelles ou énergét

173 ufs qui ont adopté le modèle de l’État-nation qui leur était livré dans le même paquet que la technique et le DDT, et qui ét

174 DT, et qui était pour eux, au départ, le moyen de leur libération ? » Deux réponses à cette objection : 1) L’Europe a invent

175 ernements centraux, il serait obligé de reprendre leur place et il serait occupé comme les autres à rester au pouvoir. C’est

176 iquement ni principalement par des institutions : leur création suivra le cheminement des esprits. Selon Littré, cheminemen

177 villes cossues de la plaine de Hollande derrière leurs digues aux petites places dallées de marbre de Dubrovnik dans l’encei

178 s aussi des premiers qui aient pris conscience de leur commune appartenance au grand ensemble culturel qu’est en réalité l’E

179 sse croissant de festivals s’efforçant d’imiter à leur échelle, voire de renouveler les formules glorieuses du vieux Bayreut

180 Quelques-uns cherchaient les moyens de sortir de leur isolement, mais ils ne trouvaient pas de formule efficace. Un beau jo

181 us nos grands festivals furent invités à déléguer leurs directeurs pour une première prise de contact à Genève, à l’automne d

182 es autour d’une table en fer à cheval, et souvent leurs regards se perdent sur ces champs de neige au loin, or et rose dans l

183 connaître, et d’échanger une ou deux fois par an leurs problèmes et leurs expériences, elle aurait mérité d’exister. Laissan

184 hanger une ou deux fois par an leurs problèmes et leurs expériences, elle aurait mérité d’exister. Laissant de côté tous les

185 à la création et au raffinement des valeurs qu’à leur confusion par le snobisme et la mode, aux innovations qu’aux routines

186 périmental) et la recherche de la perfection dans leur réalisation ; mais aussi par l’accord de ces œuvres avec l’ambiance d

187 e vie ou de mort pour un demi-milliard d’humains, leur culture (dont l’Université est un élément) et leurs manières de vivre

188 eur culture (dont l’Université est un élément) et leurs manières de vivre. Et ce problème ne se pose pas dans l’espace vide d

189 ilitaires étant priés de s’abstenir ou de modérer leurs impatiences. Bien. Mais les gouvernements qui financent l’organisatio

190 prévues mais prévisibles qu’ils en attendent pour leur production d’énergie et pour leur défense nationale. lls n’ignorent p

191 attendent pour leur production d’énergie et pour leur défense nationale. lls n’ignorent pas que E = mc2 a donné la victoire

192 L’agonie qu’ils annoncent, complaisants, c’est la leur  ! Ils sont bien les seuls à ne pas le voir ! Et c’est le moment que v

193 puis à formuler les problèmes du présent, enfin à leur imaginer des solutions. C’est dire que le non-savoir, motif de toute

194 moins dans le général. Et que ceux qui orientent leurs recherches sur les virtualités européennes méritent l’épithète si mal

195 ope et à ses intérêts, dont ils font le centre de leur monde. Or à mon sens, c’est le contraire qui est vrai. Il arrive bien

196 essités chez tous les peuples, quelles que soient leurs croyances religieuses ; que la technique est quelque chose « d’object

197 cipation responsable des citoyens aux affaires de leurs communautés autonomes. Je vais donc considérer quelques-uns des argum

198 uments échangés dans ce grand débat, non pas pour leur valeur scientifique ou technique, mais selon les grandes options de s

199 est si précieuse, sont à tel point suroccupés, on leur rendrait meilleur service en leur faisant « perdre » quelques heures

200 suroccupés, on leur rendrait meilleur service en leur faisant « perdre » quelques heures supplémentaires au-dessus des merv

201 ent (outre 20 % sur le prix du billet, et x % sur leurs impôts) le temps de se reposer, de réfléchir, ou de lire mes livres p

202 nts de l’État : elle les manipule et commande — à leur insu le plus souvent — dans leurs réflexes et finalement jusque dans

203 et commande — à leur insu le plus souvent — dans leurs réflexes et finalement jusque dans leurs pensées. Elle les force à me

204 t — dans leurs réflexes et finalement jusque dans leurs pensées. Elle les force à mentir en bonne conscience, parce qu’au sen

205 ’État, et même dans certains cas : par fidélité à leur mission ! C’est cette mission, et non pas eux, que je réprouve. ⁂ All

206 jectifs », comme dit Breton, et tiré bon parti de leur convergence avec l’événement historique, pour aboutir à notre oratori

207 . L’interaction de ces trois facteurs principaux, leurs conflits et leurs complémentarités sont seuls capables de rendre inte

208 ces trois facteurs principaux, leurs conflits et leurs complémentarités sont seuls capables de rendre intelligibles les débu

209 enn, et peu après l’abbé de Saint-Pierre publient leurs « grands desseins européens ». Suivent dans la foulée Voltaire, Rouss

210 t, l’Europe ? Mais les États ne font qu’accroître leur prétention à la souveraineté absolue : elle était dynastique familial

211 , et le secrétaire général, Joseph Retinger. Sous leur conduite, une délégation du Mouvement européen entreprit de convaincr

212 nne à laquelle les États remettraient une part de leur souveraineté, et insista — par la voix d’André Philip — sur la mise e

213 ir toutes nos nations, trop pauvres pour offrir à leurs physiciens un si grand appareil. Mais les deux résultats les plus spe

214 ion d’un Marché commun européen est l’objectif de leur action dans le domaine de la politique économique ». Les négociations

215 sonnes dégagent la résultante et trouvent en elle leur expression. Mais une autre question de paternité vient se poser à l’h

216 tion « politique » plus ou moins comparables dans leurs différences et dans leurs ressemblances que l’histoire a pu voir et e

217 moins comparables dans leurs différences et dans leurs ressemblances que l’histoire a pu voir et enregistrer : coopération e

218 iquement ni principalement par des institutions : leur création suivra le cheminement des esprits. On sent bien ici que Sch

219 antes catholiques et protestants se rameutent sur leurs origines doctrinales — néo-thomisme de Maritain, néo-calvinisme de Ba

220 ce que croyaient voir les journalistes, quand il leur arrivait de regarder de ce côté. De fait, il s’agissait de bien autre

221 nt. Alors seulement, l’orthodoxie et l’hérésie en leur sens littéral, s’évanouissent : il n’y a plus de contradiction entre

222 chrétiennes. Certes, peu d’entre nous choisissent leur confession, la plupart se contentent d’y être nés ; mais ils s’en acc

223 our compris qu’ils étaient bien forcés d’inventer leur chemin sans aucune garantie, puisque le vrai chemin, qui conduit l’ho

224 t il y a là deux mots complètement différents par leur sens, dans toute l’histoire de France, en tout cas, à partir de Phili

225 nt et autant qu’ils le peuvent, rester maîtres de leur propre destin. Or, parmi ceux qui optent pour la Puissance d’abord ou

226 té, c’est-à-dire, pratiquement, d’abandon de tous leurs droits à l’État, au chef ou au Parti qui s’en est emparé. Quant à ceu

227 hoisir les centrales nucléaires — quelle que soit leur définition, eau légère ou surgénérateurs — implique, entraîne et déte

228 traîne et détermine des constructions énormes par leurs dimensions physiques, incroyablement chères, et si dangereuses que no

229 s, ne les bâtissent qu’aussi loin que possible de leur capitale. Les adversaires des centrales qui les dénoncent comme gigan

230 s autonomes par volonté civique et incapables par leurs dimensions de déclencher et d’entretenir une guerre. Il est clair com

231 moyens et des fins, car les fins seules dicteront leurs moyens. Ce qu’il faut voir, c’est que le but de la société n’est pas

232 u tout d’assurer à quelques-uns la rentabilité de leur entreprise, mais de permettre à beaucoup la réalisation de leur vocat

233 e, mais de permettre à beaucoup la réalisation de leur vocation. De leur personne. Le problème des centrales nucléaires n’es

234 re à beaucoup la réalisation de leur vocation. De leur personne. Le problème des centrales nucléaires n’est pas technologiqu

235 ’intérêt public. Récemment, ils ont encore élargi leur rayon d’intervention et de nombreux services publics en sont en fait

236 ux qu’ils étaient censés servir. La charge qu’ils leur font supporter est parfois financière quand il s’agit, par exemple, d

237 ts — sentiront qu’ils possèdent en commun, malgré leurs origines hétéroclites, une fois confrontés au groupe majoritaire des

238 t est autochtone, qui domine la Réforme vaudoise. Leurs descendants donneront naissance à un complexe de philosophie et de do

239 e, écrivains, philosophes et peintres, ont rempli leur fonction de médiateurs entre le monde latin, le monde anglo-saxon et

240 sentiment de former une entité qu’à la faveur de leur rattachement tardif (1814, 1815, 1848) à la Confédération helvétique,

241 à la Confédération helvétique, et ils ne doivent leur « esprit » commun qu’à la dominante protestante (sensible jusque dans

242 omme elle fut la marraine. Et nos cantons gardent leurs séculaires valences (au sens chimique du terme : pouvoir de se combin

243 raissent désormais possibles entre ces cantons et leurs voisins français et italiens. Et l’ensemble de ces relations dessine

244 ue 23 000 travailleurs, qui chaque soir regagnent leur cité-dortoir. Voilà qui définit une région transfrontalière de main-d

245 menaient chacune, depuis un millénaire au moins, leur histoire fort indépendante et différente de celle des autres. Ces his

246 citoyens d’être libres, parce que responsables de leur destin et des destins de la cité. Dans les énormes villes d’aujourd’h

247 ns pouvoirs. Ce n’est qu’en décidant de reprendre leur destin en main à l’échelon local et régional que les hommes y parvien

248 car elles seules sont à la mesure des hommes, de leur volonté et de leur voix. Et de s’en prendre à l’école avec la véhémen

249 ont à la mesure des hommes, de leur volonté et de leur voix. Et de s’en prendre à l’école avec la véhémence du professeur co

250 jourd’hui doit apprendre aux jeunes à reconnaître leurs besoins réels et à critiquer l’aliénation collective crée par la publ

251 : dans la mesure où les hommes persévéreront dans leur démission, ces conclusions se vérifieront. C’est de l’ordre de l’inco

252 n’en finissent pas de se multiplier, de fortifier leurs frontières et de s’y cramponner comme si elles étaient le bord incont

253 r comme si elles étaient le bord incontestable de leur identité. Or qu’est-ce qu’une frontière ? C’est, généralement, le rés

254 rre était devenue pour eux le seul moyen de tenir leur monde, de contrôler la société française, afin de lui imposer un carc

255 mobilisateur… À vrai dire, on a l’impression que leurs idées sur le sujet ne sont pas très précises. Prenez l’exemple de Sar

256 rce que nous pensions que ces trois systèmes, par leur logique interne, nous conduisaient droit à la guerre et au totalitari

257 ez déplaisantes, surtoutaw si on les replace dans leur contexte. Ainsi, en 1933, vousax trouvez opportun d’écrire un article

258 de, il n’est pas de réalité qui vaille… Tout doit leur être subordonné et s’anéantir au nom du Pouvoir, cet analogue de la p

259 ce qui la définit : les plantes et les corps ont leurs chromosomes, leurs cellules qui sont programmés, comme on dit, pour p

260 : les plantes et les corps ont leurs chromosomes, leurs cellules qui sont programmés, comme on dit, pour pousser, croître, se

261 chacun qu’ils vont pouvoir continuer à augmenter leurs exportations et diminuer leurs importations, les choses finiront mal.

262 tinuer à augmenter leurs exportations et diminuer leurs importations, les choses finiront mal. Un enfant le comprendrait ! Il

263 la planète sans aucun reste, puissent tous, comme leurs politiciens le déclarent, augmenter leurs exportations aux dépens de

264 , comme leurs politiciens le déclarent, augmenter leurs exportations aux dépens de leurs importations ! Qui fera les différen

265 arent, augmenter leurs exportations aux dépens de leurs importations ! Qui fera les différences ? Or, le plus aberrant est qu

266 centrales nucléaires. Les États qui ont augmenté leur PNB se mettent à vendre des centrales nucléaires — je n’ai pas besoin

267 es problèmes du nucléaire. Vous vous interrogez à leur propos et vous en arrivez à l’idée que si tant d’hommes mentent, c’es

268 afficher ? La puissance. La puissance de qui ? La leur  ? Ce serait dérisoire. Non, pas la leur. Ce serait en effet dérisoire

269 qui ? La leur ? Ce serait dérisoire. Non, pas la leur . Ce serait en effet dérisoire, mais plus facile. Ce qu’ils poursuiven

270 Des communautés vivantes ayant d’autres fins que leur propre puissance. Un tel substitut de l’État a-t-il jamais existé ? P

271 ire des citoyens réunis, dialoguant, discutant de leurs affaires, il deviendrait la tâche de quelques spécialistes délégués q

272 à être responsables et rêvent de se décharger de leurs responsabilités sur le pouvoir fédéral. Ça, c’est un vice, une maladi

273 ose que moi. Ce qui fait beaucoup d’effet mais ne leur donne pas une grande crédibilité puisqu’ils se sont trompés si longte

274 nfluence sur le réel ? Au contraire, je pense que leur pouvoir est plus grand que jamais. J’en reviens toujours à ma premièr

275 aiment pas changer. Ils comprennent qu’il y va de leur avenir, mais ils continuent à vouloir, comme on dit chez moi, le beur

276 nt rien en faire, sinon en tirer du plutonium. On leur fait promettre qu’elles ne s’en serviront pas à des fins belliqueuses

277 Suisses ont acquis une conscience régionale dans leur résistance commune aux centrales nucléaires, quand ils se sont aperçu

278 mais ils ne trouveront pas l’argent pour financer leurs centrales nucléaires. Songez que chaque centrale coûtera environ quat

279 producteurs qui « essaient de nous faire prendre leurs désirs pour nos fatalités ». La vraie politique de l’énergie n’est pa

280 utres m’ont pris pour un agent allemand chargé de leur faire peur… Ce qui est tragique, c’est que l’esprit jacobin règne enc

281 ncrétisent sur la place. Aujourd’hui les autos et leurs parkings en chassent les hommes, dégradant ainsi les bases mêmes de l

282 tés « à mesure d’homme » ne peut se faire que par leur division en municipalités de quartiers. Et cela suppose d’abord l’act

283 puisqu’il est démontré que le taux de délinquance leur est proportionnel. Supprimer les tours énergivores. Interdire le gasp

284 du civisme. Nous avons aujourd’hui les villes que leurs habitants ont subies, qui ont été faites pour le profit de quelques-u

285 celui de ce congrès je l’espère — les villes que leurs citoyens actifs auront voulues et mesurées pour le mieux-être de tous

286 ommes et de femmes, devenant plus responsables de leur ville, y soient par conséquent plus libres. by. Rougemont Denis d

287 onc une vilaine action en trompant les hommes sur leurs besoins et en falsifiant leur désir à la source même. À 21 ans, j’ai

288 ant les hommes sur leurs besoins et en falsifiant leur désir à la source même. À 21 ans, j’ai écrit un article pour dénoncer

289 s gens qui ne voient pas plus loin que le bout de leur contestation. Ils sont contre, sans savoir exactement pourquoi. Denis

290 grats au sens exact du terme, c’est-à-dire qui ne leur apportent aucune gratification. Ils ne sont pas heureux et ils en vie

291 Ils ont géré et détruit les ressources en vue de leur puissance. Pour Denis de Rougemont, l’État ne devrait être qu’un serv

292 s arceaux des valets, tous se déplaçant au gré de leur humeur. Ensuite, tout passe à travers les gouvernements. Il y a peu d

293 nquêtes sur la vie des savants, des personnes, de leurs familles : la société nucléaire est une société policière. « J’ai