1
contraire), le pouvoir qui aliène, non celui qui
libère
. Au surplus, elle crée tant de liens avec ce qui n’est pas ma vocatio
2
entre le transcendant et l’incarné, entre ce qui
libère
, dégage, universalise d’une part, et ce qui lie, engage, enracine d’a
3
’est pas moins vraie. La vocation dont l’appel me
libère
, c’est elle aussi qui me relie à mes prochains dans la cité, parce qu
4
lesses métaphysiques et politiques1, moralement «
libéré
» comme on dit aujourd’hui, mais sentant la nécessité de me faire une
5
qui ont su trouver en elles-mêmes la force de se
libérer
des particularismes locaux et sentimentaux ». C’est à l’échelle de
6
rouverait sa justification ultime dans le fait de
libérer
l’homme (création des automatismes, économie de l’énergie, accumulati
7
aliste et communautaire, ou encore : fédéraliste]
libère
la nation en faisant éclater l’État et en dispersant les organes néce
8
r des centaines de milliers d’années. Elle devait
libérer
l’homme, elle l’asservit. Ivan Illich a calculé que l’Américain moyen
9
ent trop court n’est pas le meilleur moyen de les
libérer
. Il faudrait leur montrer des horizons plus vastes, qui soient les le
10
ire, qu’il est moins dangereux pour la société de
libérer
l’instinct sexuel que le refouler. Cette invasion de l’érotisme dans