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re les non-figuratifs, des cubistes aux abstraits
lyriques
; et encore moins à perpétrer sur le visage humain une défiguration s
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s le cri, le soupir, la mélopée ou la fulguration
lyrique
. La poésie courtoise a sensibilisé la psyché occidentale. En lui donn
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vée et renouvelée de la littérature romanesque et
lyrique
que de nous décrire les cheminements de cet amour dont le poète andal
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u médiéval, comme à Dubrovnik, mais les tragédies
lyriques
dans des amphithéâtres grecs ou romains, les ballets dans des parcs r
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le de toute rhétorique, voire de toute expression
lyrique
gratuite… Bref, on a fait du Romand-type l’antithèse du Français-tel-