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que j’appelle la personne, la traiter de fantôme
métaphysique
, d’illusion verbale, de concept superflu. Mais j’observe que ceux qui
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r le surréalisme tout en dénonçant ses faiblesses
métaphysiques
et politiques1, moralement « libéré » comme on dit aujourd’hui, mais
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jette pêle-mêle les reportages et l’histoire, la
métaphysique
et les Mémoires de « Papillon », et tout ce que, faute de mieux, l’on
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al, et de tirer des significations ambitieusement
métaphysiques
de cette absence de signifié physique. Croyez bien que je n’exagère p
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principal de la Grèce à ce qu’on peut appeler la
métaphysique
de l’amour (R. Flacelière, L’Amour en Grèce). Il semble que Platon a
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qui importe aux universitaires — pour Ies parties
métaphysiques
de mes cours ; et la qualité de « recherche finalement appliquée » —
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et même les biologistes, on peut admettre que la
métaphysique
et l’anthropologie philosophique jouent le même rôle dans notre champ