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premiers directeurs. La rencontre avec Dandieu a
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tourné, comme on peut le voir aux pages 100 à 102 de l’ouvrage intitu
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grande idée, dont je crains qu’ils la comprennent
mal
, toujours plus mal, après l’avoir si bien pratiquée pendant des siècl
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e crains qu’ils la comprennent mal, toujours plus
mal
, après l’avoir si bien pratiquée pendant des siècles. Cette idée est
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onquises (la Léventine, le pays de Gex) — mélange
mal
descriptible en termes de politologie moderne de communes, de régions
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el ils n’apparaissent qu’en vertu d’une opération
mal
explicable, presque magique, si l’on songe que le cosmos tout entier
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, l’homme n’avait fait que répondre tant bien que
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aux divers défis de la nature dont il vivait, défis du corps, défis d
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se veulent, d’indiquer des remèdes politiques aux
maux
qu’ils ont calculés, et de se référer à des finalités humaines ou div
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ut sauver à n’importe quel prix, elle fait bon an
mal
an 280 000 morts chaque année dans le monde, et plus de 8 millions de
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Europe des régions (juin-juillet 1974)e f Le
mal
stato-national Il semble que deux de vos thèmes principaux travers
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s, au lieu de 25 États-nations serait aggraver le
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« stato-national » d’une manière absolument insupportable. J’écarte d
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défendre, c’est celui des trop grandes sociétés,
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adaptées aux régions dans lesquelles elles viennent s’implanter et qu
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régionale spontanée pourrait en sortir ? On voit
mal
comment… La description que vous faites de la mentalité d’aujourd’hui
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ir sur elles. Pour lui, « le pire est l’ennemi du
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», comme l’a si bien vu Jean Paulhan. Par une sorte de dépit amoureux
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rême de l’amour gît dans la certitude de faire le
mal
. Et l’homme et la femme savent, de naissance, que dans le mal se trou
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mme et la femme savent, de naissance, que dans le
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se trouve toute volupté (Fusées, III). Cependant, c’est le roman ang
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n elle-même. C’est une condition délectable et un
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que nous désirons. Celui qui n’en est pas atteint ne souhaite nulleme
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ui refuse pas d’avoir une opinion mais on accepte
mal
qu’il l’affirme et qu’il continue à l’affirmer avec véhémence. Il est
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par le Département de justice et police ! Or quel
mal
fait Garry Davis ? Il ne veut pas de passeport, il a un passeport de
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nt. 2) L’État-nation peut faire autant et plus de
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au tiers-monde qu’aux Européens. Ce n’est pas peu dire ! Il est grand
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ne recherche fondamentale ? J’avoue que je saisis
mal
l’opposition de nature que vous me semblez faire, après tant d’autres
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es virtualités européennes méritent l’épithète si
mal
vue 20 que vous citez, c’est-à-dire ramènent tout à l’Europe et à se
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premier chef à la survie de cette culture ? 20.
Mal
vue en Europe surtout et par ces masochistes invétérés que sont trop
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l’après-guerre. L’échec retentissant de ce combat
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engagé, mais tenu peut-être à tort pour décisif par opposants et part
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déclaré. Et tandis que les autres, tant bien que
mal
, expédient les affaires courantes, lui, parlant bas, devant un Consei
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stres inattentif, lisant un texte inattendu, donc
mal
compris, et qu’on accepte à cause de cela seulement, a peut-être chan
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Je constate, en historien, qu’à l’origine de nos
maux
actuels, il y a le gigantisme, la superstition des grandes dimensions
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faut pas s’étonner si les économistes ont tant de
mal
à faire fonctionner les économies nationales car la seule idée d’« éc
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ur lesquels le phénomène totalitaire incarnait le
mal
absolu ; pour lesquels le marxisme n’était qu’une variante du product
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diminuer leurs importations, les choses finiront
mal
. Un enfant le comprendrait ! Il est impossible d’imaginer sans rire q
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20 % en Suisse comme on a voulu, sans le moindre
mal
. D’ailleurs, écoutez. Faites un calcul qui est tout bête : selon les
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rations ; Peyrefitte l’a très bien montré dans Le
Mal
français. Sa thèse m’aide plus qu’elle ne me contrarie ; car il a trè
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rd que la civilisation occidentale a fait plus de
mal
après que pendant la colonisation qui n’a duré en fin de compte que q