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a vie littéraire et à l’édition. Seul espoir : un
miracle
, autrement dit une chance que rien ne permet de prévoir. Cet après-mi
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ute évidence aucune frontière commune — ce serait
miracle
, et ce miracle, sauf peut-être en Islande, ne s’est jamais produit —,
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cune frontière commune — ce serait miracle, et ce
miracle
, sauf peut-être en Islande, ne s’est jamais produit —, il est d’autre
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se dessinent, se colorent, se modèlent comme par
miracle
des formes lumineuses, des figures désirables, des paysages qui se co
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et sous-sol, économie et histoire. Il faudrait un
miracle
pour que ces réalités coïncident dans l’espace, correspondent aux mêm
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espace, correspondent aux mêmes frontières, et ce
miracle
ne s’est jamais réalisé. L’idée de la coïncidence territoriale de l’i
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e de leur communauté peu croyable mais vraie — ce
miracle
qu’il faut traduire en formules désormais communicables, et qu’il fau
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ent donné des unités exactement superposables, ce
miracle
ne durerait guère, pour la simple raison que la langue, les frontière
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la mode, aux innovations qu’aux routines, et aux
miracles
qu’aux abus. (C’est peut-être pourquoi elle reste si vivante ?) 2. Le
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aît que le résultat : la paix sauvée, « comme par
miracle
», disent les témoins… Et soudain un contact s’établit, le passé se
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e changé le cours de nos destins. Cette espèce de
miracle
que représente la CECA, entendons l’acceptation grâce à Schuman du pr
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rigueur, dont la maîtrise technique favorise — ô
miracle
— l’ouverture à la haute poésie mystique, et qui possède une vertu de