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s que l’on puisse n’y pas croire. Que l’on puisse
nier
l’existence de ce que j’appelle la personne, la traiter de fantôme mé
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concept superflu. Mais j’observe que ceux qui la
nient
ont commencé par répéter, après Nietzsche, que Dieu est mort, et que
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t rien contre Dieu, tout contre l’homme. Quand on
nie
Dieu, comme la plupart des écoles de pensée modernes, existentialiste
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rt de l’homme s’ensuit « logiquement » ; quand on
nie
le sujet, et qu’on répond comme Ulysse au Cyclope : « Je me nomme per
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est une valeur fondamentale, qui ne saurait être
niée
ou contestée que par des infirmes de l’âme ou des débiles du spiritue