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ce « Pentagone de la Puissance » ou mieux : de l’
obsession
de Puissance, comme l’a décrit Lewis Mumford et comme je n’ai cessé d
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erne, — ou plutôt ce qui n’en a pas d’autre que l’
obsession
de la Puissance, vrai moteur de la société industrielle, vraie cause
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isira lui-même). Ses livres ont la monotonie de l’
obsession
. Quant à ses valeurs, on ne saurait trop souligner qu’elles sont cell
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pour leur guerre, dont tous sont nés, et selon l’
obsession
de puissance qui explique seule, sans la justifier, leur prétention à
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aussi le fauteur de la crise, dans la mesure où l’
obsession
de la puissance est l’ultima ratio de ses décisions. Mais d’où tient-