1 1974, Articles divers (1974-1977). La personne comme fondement des valeurs européennes (19 septembre 1974)
1 la réalité ». En formulant la thèse centrale de l’ orthodoxie chrétienne, c’est-à-dire la coexistence en une Personne de deux natur
2 1975, Articles divers (1974-1977). L’amour (1975)
2 lé entre la religion des « Fidèles d’amour » et l’ orthodoxie des Églises, entre l’aventure individuelle de la passion (ou de la my
3 nt mystique ne peut se détacher que sur un fond d’ orthodoxie . « Entre deux êtres isolés, il n’y a pas d’amour possible », dit le h
3 1977, Articles divers (1974-1977). Hérétiques de toutes les religions, unissez-vous ! (1977)
4 nos aînés pour les restaurateurs subversifs d’une orthodoxie protestante, aussi paradoxale en soi que dans les polémiques qu’elle
5 ros de notre revue : il n’y est jamais question d’ orthodoxie  ! (Sauf une fois : pour nier que nous défendions une « orthodoxie cal
6 uf une fois : pour nier que nous défendions une «  orthodoxie calviniste ».) En revanche, des « hérésies » sont dénoncées, mais non
7 iculière. Remplacez dans cette phrase morale par orthodoxie , et vous saurez ce que nous pensions alors. La vérité ne pouvait être
8 pour la réaliser ». Très paradoxalement, notre «  orthodoxie  » prétendue s’opposait à toute « transposition de l’événement fondame
9 r entrer dans la dialectique de l’hérésie et de l’ orthodoxie , considérons l’ambiguïté fondamentale de l’expression de « voie uniqu
10 a « voie unique » peut donc désigner aussi bien l’ orthodoxie que l’hérésie. On voit ici que ces deux phénomènes radicalement antin
11 ée à une communauté dont elles deviennent alors l’ orthodoxie  ; et les systèmes dogmatiques imposés par les pouvoirs totalitaires n
12 Note 2. Si, comme le veulent les dictionnaires, l’ orthodoxie est la « droite opinion » et l’hérésie le « choix personnel d’une opi
13 che le chemin du Graal. ⁂ La complémentarité de l’ orthodoxie et de l’hérésie apparaît désormais homologue d’une série d’autres pai
14 Église — fidèle Religion — Foi Cité — personne Orthodoxie désigne couramment en Occident « conformité aux dogmes reçus », mais
15 ar l’action, par le sentiment. Alors seulement, l’ orthodoxie et l’hérésie en leur sens littéral, s’évanouissent : il n’y a plus de
16 je parle « d’hérésies libératrices des âmes et d’ orthodoxie conservatrices de la cité ». Une attitude personnaliste cohérente m’i
17 plus qu’à tel autre : ainsi le luthéranisme et l’ orthodoxie russe favorisent l’intériorité mystique mais non l’éthique sociale ou