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personnaliste. Et le paradoxe œcuménique apparaît
parfaitement
homologue au paradoxe fédéraliste. Je lis dans les travaux récents pu
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Dans ces conditions nous sommes devant un dilemme
parfaitement
clair : ou bien on fait l’Europe et il faut abandonner la formule des
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ue, qu’on peut renverser un dictateur, un système
parfaitement
cohérent et très simpliste de gouvernement ; mais on ne peut pas renv
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é convient seule à ce petit pays, et qu’il serait
parfaitement
illusoire et utopique d’imaginer que des solutions suisses puissent ê
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acile d’administrer un pays où toutes choses sont
parfaitement
égales et identiques, où toutes les différences locales sont abolies.
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us ont conduits au seuil d’une série de désastres
parfaitement
calculables si nous laissons les choses aller. Et le premier de ces d
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c’était un mécanisme démocratique et une élection
parfaitement
régulière qui avaient permis à Hitler de devenir chancelier. Au fond,