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gions de la terre l’ont condamnée : « Heureux les
pauvres
», disent nos Béatitudes, et les sermons le répètent tous les dimanch
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bonne santé devant le malade, du riche devant le
pauvre
, de celui qui échappe à l’Histoire devant celui qui la subit. Pendant
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alors en train de subir toutes nos nations, trop
pauvres
pour offrir à leurs physiciens un si grand appareil. Mais les deux ré
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e du Palais de justice. Elle est ouverte, mais le
pauvre
paysan n’ose la franchir, à cause des deux farouches gardiens qui se