1
t autour de nous, des fenêtres s’allumaient à nos
pieds
dans le bourg, et le père Reinecke refusait de croire à mes histoires
2
, les tâches réparties et le groupe de pression à
pied
d’œuvre, il ne restait plus qu’à trouver les hommes d’État capables d
3
te en y marchant. « Ta parole est une lampe à mes
pieds
, une lumière sur mon sentier », dit le psalmiste. La lampe n’éclaire
4
re, il nous houspille, nous provoque, nous met au
pied
du mur. Nous voici condamnés à choisir notre avenir. Nous voici donc