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ncontre des destins qu’ils ont calculés, alors le
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deviendra sûr. Ils nous supplient de les faire mentir, mais il nous f
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ou Meadows. Mais ils sont loin d’avoir épuisé le
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de notre crise : l’équivalent moral, social et politique du célèbre R
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Tenter de s’y opposer par la violence serait bien
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que vain car ce serait faire son jeu. Cette crise morale affecte l’Oc
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le monde, ce serait de l’orgueil, de la jactance,
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encore, de la vanité ! Soyons modestes ! » Nous nous trouvons ici dev
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. Tout cela doit nous faire redouter, au-delà des
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prévisions de nos futurologues, ce qu’un vieux mythe des Indiens Nava
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pas des mini-États-nations qui reproduiraient en
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les prétentions absurdes des grandes : souveraineté illimitée et fron
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que les Américains et les Russes soient des gens
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que nous, je pense que la colonisation est pire que tout. Quand un pe
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pires que nous, je pense que la colonisation est
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que tout. Quand un peuple se met à rendre les rênes à un autre pour s
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s quoi ! nous connaissons tout cela et c’est bien
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chez nous ! s’écrie l’Européen de Düsseldorf, d’Anvers, de Lyon, de M
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odestie trop commode, un peu lâche, que réside sa
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tentation et vraiment son péché virtuel — qui est la peur d’assumer s
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ément de perversion des désirs : et voilà bien la
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aliénation ! Il nous faut retrouver des mesures, gagées sur l’homme,
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aient tentés de s’en servir ? Si la guerre est le
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désastre qui menace aujourd’hui le genre humain, n’est-il pas urgent
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us contraignante, du dernier tabou subsistant, du
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obstacle imaginable — celui que l’on pressent comme le plus « efficac
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le, il entend renchérir sur elles. Pour lui, « le
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est l’ennemi du mal », comme l’a si bien vu Jean Paulhan. Par une sor
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ui soient de petits États-nations. Ce serait bien
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que les grands. Ce seraient les défauts des grands plus l’esprit de c
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e mettront jamais à genoux devant les régions. Au
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— au mieux —, si un mouvement régionaliste très puissant réussissait
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pas purement verbale. Pour le meilleur et pour le
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, c’est ce vocabulaire qui sera repris dans les traités européens de l
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à son environnement. Pour Denis de Rougemont, le
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est encore à venir puisque les fonctionnaires des États-nations, resp
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perts — et à d’autres —, on sait désormais que le
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, s’il n’est pas sûr, est en tout cas probable. Or, actuellement, il n