1 1974, Articles divers (1974-1977). Quelques-unes des choses curieuses qui me sont arrivées (1974)
1 après sa mort prématurée en 1957, « le seul grand poète luthérien de langue française ». L’une des questions était : « Qu’arr
2 1975, Articles divers (1974-1977). Suisse 1975 (1975)
2 que d’autres souffrent. » Ainsi parlait le grand poète Carl Spitteler pendant la Première Guerre mondiale, et c’est encore p
3 1975, Articles divers (1974-1977). L’amour (1975)
3 catholique. Le Breton Pierre Abélard (1079-1142), poète , philosophe, théologien et le plus grand docteur de son époque, devie
4 sera suivi par des dizaines puis des centaines de poètes qui se nomment « troubadours » (c’est-à-dire trouveurs, inventeurs, c
5 imental des amants de La Nouvelle Héloïse que les poètes et romanciers, allemands d’abord puis anglais, vont tenter de rejoind
6 s les choses de l’amour, selon le vocabulaire des poètes romantiques, du Sturm und Drang aux lakistes, de Platen à Baudelaire
7 ou énergie sexuelle. Pour lui, l’amour « dont les poètes parlent tant » n’est qu’une « prime de plaisir » donnée à l’acte sexu
8 ous décrire les cheminements de cet amour dont le poète andalou Ibn Hazm écrivait au xie siècle : L’amour est une maladie i
4 1975, Articles divers (1974-1977). « Le sort des écrivains emprisonnés constitue un drame et un avertissement » (juin 1975)
9 cains appellent « romance » est une invention des poètes du Midi de la France au xiie siècle. Avant eux il y avait la passion
10 lations sensuelles entre l’homme et la femme. Les poètes de cette époque, les troubadours, ont inventé, eux, une femme inacces