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après sa mort prématurée en 1957, « le seul grand
poète
luthérien de langue française ». L’une des questions était : « Qu’arr
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que d’autres souffrent. » Ainsi parlait le grand
poète
Carl Spitteler pendant la Première Guerre mondiale, et c’est encore p
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catholique. Le Breton Pierre Abélard (1079-1142),
poète
, philosophe, théologien et le plus grand docteur de son époque, devie
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sera suivi par des dizaines puis des centaines de
poètes
qui se nomment « troubadours » (c’est-à-dire trouveurs, inventeurs, c
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imental des amants de La Nouvelle Héloïse que les
poètes
et romanciers, allemands d’abord puis anglais, vont tenter de rejoind
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s les choses de l’amour, selon le vocabulaire des
poètes
romantiques, du Sturm und Drang aux lakistes, de Platen à Baudelaire
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ou énergie sexuelle. Pour lui, l’amour « dont les
poètes
parlent tant » n’est qu’une « prime de plaisir » donnée à l’acte sexu
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ous décrire les cheminements de cet amour dont le
poète
andalou Ibn Hazm écrivait au xie siècle : L’amour est une maladie i
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cains appellent « romance » est une invention des
poètes
du Midi de la France au xiie siècle. Avant eux il y avait la passion
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lations sensuelles entre l’homme et la femme. Les
poètes
de cette époque, les troubadours, ont inventé, eux, une femme inacces