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ert ni exalté mais réaliste, d’une manière qui ne
prête
guère à la littérature. Au dernier stade de « sublimation », où la pu
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e Viviane ou la Velléda des Martyrs, celle qui se
prête
aux fantasmes de l’homme. Le « héros » (comme on le dit encore des pe
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s et les ambiguïtés dont elle se nourrit. Elle se
prête
autant à la création et au raffinement des valeurs qu’à leur confusio
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, le passé se charge de l’émotion présente et lui
prête
en retour une dimension nouvelle, comme si c’était le message du Soli
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elations épistolaires, échangeant des tuyaux, des
prêts
, et finalement des lettres de crédit… L’esprit romand implique aussi,
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e nouveau » n’avait pas du tout le sens qu’on lui
prête
aujourd’hui. Nous ne ressemblions vraiment pas à ces petites brutes d