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humains autant que les avantages économiques d’un
projet
, pour établir son coût réel, tantôt de promoteurs qui n’invoquent que
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coude du Rhin, dans la région de Bâle. Il y a en
projet
seize centrales nucléaires. Ce qui est de la démence pure. Aux yeux d
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nt d’Europe ou d’Amérique, c’est insoutenable. Le
projet
n’est soutenu, d’ailleurs, que par les trois États qui se partagent l
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, jonché de papiers, des noms s’échangent, et des
projets
s’esquissent : ce sont tous les grands noms de la musique, compositeu
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e la dernière école postsérielle ; et ce sont des
projets
de concerts, de ballets, d’opéras de tous les siècles qui, durant la
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nnent une rubrique régulière, mais aussi dans les
projets
de vacances de centaines de milliers de touristes, et enfin dans les
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‘est pas non plus une utopie, comme le furent les
projets
d’union de Pierre Dubois (1308), du roi de Bohême Georges Podiebrad a
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ngrès de l’Europe réuni à La Haye en mai 1948, le
projet
d’union de l’Europe résulte de la conjonction d’au moins trois facteu
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ve-Kalergi, puis échoue — momentanément — avec le
projet
Briand de 1932 ; Un mouvement multiforme de militants européens, issu
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nion européenne des fédéralistes ; Un ensemble de
projets
politiques plus ou moins pragmatiques, dont Churchill sera le porte-p
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ds desseins Les vrais débuts datent du premier
projet
d’union de l’Europe : Pour récupérer la Terre sainte, rédigé en 1306.
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chera même pas la plupart des États de rejeter le
projet
au nom précisément de la « souveraineté » qu’ils estiment menacée par
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s d’être expliqué, c’est le passage de l’échec du
projet
Briand aux relatifs succès des plans Monnet, Schuman et Spaak. Quel f
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d’union de l’Europe cités plus haut, récusent le
projet
Briand comme trop respectueux des souverainetés nationales, et oppose
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pables de faire passer les différentes parties du
projet
européen devant les parlements. Les six mouvements qui avaient organ
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des ministres français décidait de « donner à ce
projet
son concours actif », bientôt suivi par les quatre autres signataires
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tés de fait », expression d’ailleurs empruntée au
Projet
rédigé par Alexis Léger vingt ans plus tôt à l’intention de la Sociét
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aration de la CECA. Lorsque René Pleven ranima le
projet
, fin 1951, on lui fit observer de divers côtés qu’une armée sans gouv
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ts de cinq des Six ne tardèrent pas à ratifier le
projet
français (1992 et 1953) ; mais en France même, il allait déclencher l
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adhésion de la majorité, surtout des jeunes, à ce
projet
, et l’urgence ressentie par tous d’une action capable de prévenir la
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CECA, entendons l’acceptation grâce à Schuman du
projet
de Jean Monnet, sa mise en place rapide, et l’ampleur de ses suites,
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Hirsch. Il est non moins certain qu’en faisant du
projet
« son affaire » et en engageant sur lui le sort de sa propre politiqu
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oire. Qui est le vrai père ? Celui qui conçoit le
projet
ou celui qui le réalise ? Peut-être pourrait-on évoquer ici, plutôt q
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e région universitaire. Et comme j’expliquais mes
projets
à l’un de nos recteurs romands, tout en m’excusant du caractère très