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ntale d’aujourd’hui. Mais avant de s’en faire les
promoteurs
, comme ils le peuvent et le doivent à mon avis, les Suisses feraient
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’un projet, pour établir son coût réel, tantôt de
promoteurs
qui n’invoquent que les besoins supposés et les profits escomptés, et
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e suivre les futurologues soucieux plutôt que les
promoteurs
irresponsables, quand il s’agit de formuler une politique. Or nous vo
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joue le mensonge systématique. Qu’il s’agisse des
promoteurs
de l’énergie nucléaire, ou de Concorde, ou du bétonnage universel, j’
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s rayons ultraviolets ? « Votre pari — dis-je aux
promoteurs
de Concorde alignés devant moi, et consternés — c’est le contraire du
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ration des groupes. b) Je suis convaincu que les
promoteurs
de Concorde sont animés par un certain idéal : c’est celui du Progrès
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chnique et de ses « impératifs » allégués par les
promoteurs
et les ministres dont ils sont les experts. Faut-il soumettre l’homm
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plus à répondre aux « impératifs techniques » des
promoteurs
, ni aux « nécessités économiques » des ministres, mais au besoins hum