1
et les oblige à s’évader dans la drogue, dans la
révolution
verbale des minorités vociférantes, ou dans l’imbécillité civique des
2
le parti de l’esprit avant d’être le parti de la
révolution
. » Au numéro 4, Alexandre Marc donne une importante étude sur « Le pr
3
te, le programme des fédéralistes européens : La
révolution
[sous-entendu : personnaliste et communautaire, ou encore : fédéralis
4
renverser, vous ne sauriez par où le prendre. La
révolution
violente n’a jamais abouti à autre chose qu’à renforcer les pouvoirs
5
ion dans la vie publique. Cela correspondait à la
révolution
communaliste, à l’esprit des communes. Les villes du xixe siècle son
6
es par les tirs des soldats de la garde en cas de
révolution
. Ainsi, au premier coup d’œil, on arrive très bien à repérer, d’après
7
pour paraphraser l’un des slogans célèbres de la
révolution
soviétique, « le fédéralisme dans un seul pays est utopique ». Car si
8
omme nous le verrons, le secret de Tristan. La
révolution
chrétienne Cinq siècles après Platon, Plutarque fait un premier él
9
il oppose la « liberté des enfants de Dieu ». La
révolution
paulinienne consiste dans la proclamation que « tout m’est permis, ma
10
? Ne serait-elle pas au contraire le signe d’une
révolution
plus générale qui s’opérait à cette époque dans la psyché occidentale
11
nce à circuler en Europe. Tous les éléments de la
révolution
psychique composés en système dans la cortezia se retrouvent dans l’h
12
uent ouvertement pratiquer ce conditionnement. La
révolution
culturelle chinoise n’a pas été autre chose qu’un immense conditionne
13
sera donc toujours un opposant, un « agent de la
révolution
» selon le mot de Picasso. L’idée de Picasso c’est qu’il ne peut y av
14
tir de tâches communes et sans exiger d’abord une
révolution
complète : les gouvernements ne se mettront jamais à genoux devant le
15
voie sans issue. La réforme, donc, plutôt que la
révolution
… Il nous faudrait partir des racines, puis dresser un plan. Par exemp
16
commun »29. Ce n’était pas une réforme, mais une
révolution
. On peut penser que c’est à la faveur d’une espèce de distraction tan
17
souveraineté. Ce n’est donc ni l’anarchie, ni la
révolution
à la mode des siècles derniers qui peuvent nous secourir dans cette t
18
917, dans L’État et la Révolution, que toutes les
révolutions
bourgeoises, jusqu’alors, n’avaient fait que renforcer l’État et la p
19
e cap, c’est littéralement se convertir, faire sa
révolution
. Chacun de nous peut opérer pour lui-même cette révolution vers une n
20
n. Chacun de nous peut opérer pour lui-même cette
révolution
vers une nouvelle forme de progrès. Je ne propose pas la violence qui
21
’incliner, non ? … Denis de Rougemont a choisi sa
révolution
. Pas de grands chambardements, pas de déclarations fracassantes. Mais
22
nsion de la personne », il prône la plus profonde
révolution
qui soit : celle que chacun doit accomplir en lui-même. ao. Rouge
23
ci, c’était d’abord la Révolution… Laquelle ? Les
révolutions
qui avaient déjà eu lieu — comme celle de 1917, en Russie, ou comme c
24
souvent défini le marxisme comme « l’opium de la
révolution
». Quant à la démocratie et à notre scepticisme devant les vertus du
25
certaine confiance, car j’observe qu’une immense
révolution
se prépare dans les pays européens, chez les jeunes surtout. Des mill
26
ites « changer de cap ». Vous évitez le terme : «
révolution
» ? Ces révolutions qui nivellent… Comme Lénine le constatait qu
27
». Vous évitez le terme : « révolution » ? Ces
révolutions
qui nivellent… Comme Lénine le constatait quelques mois avant de p
28
it quelques mois avant de prendre le pouvoir, les
révolutions
entraînent toujours un renforcement de l’État et de sa police. Il s’e
29
de confirmer lui-même ce diagnostic. La « grande
révolution
» de France a permis de réaliser un nivellement sans précédent. En 17
30
reton, le flamand et l’allemand. Non seulement la
révolution
s’est chargée de gommer cette diversité des peuples, mais encore l’hi
31
core l’histoire officielle feint de l’ignorer. La
révolution
de 1789 a créé l’État-nation qui, ensuite, s’est répandu dans le mond
32
ion qui, ensuite, s’est répandu dans le monde. La
révolution
russe, elle, a créé l’État-parti, qui concentre encore plus de moyens
33
ncore plus réduit. Voilà pourquoi je me méfie des
révolutions
… Le « toujours plus » qui conduit à l’absurde J’aimerais ajoute