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icipales et régionales, qu’il s’agit désormais de
recréer
si l’on veut que la personne s’épanouisse : j’y vois la tâche princip
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si morbides l’un que l’autre. Contre cela il faut
recréer
des communautés, et voilà le principal motif de faire des régions. Je
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aujourd’hui. Voilà le drame. Nous avons à créer à
recréer
des pouvoirs réels, d’abord à l’échelle locale. Ne perdons plus notre
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u le coup de Mussolini, il ne faut pas essayer de
recréer
une communauté par en haut, par un seul parti, une seule idéologie, b
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ne n’aurait la fortune nécessaire, mais on peut y
recréer
des quartiers, des communes, au prix de certaines destructions. On pe
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munes, au prix de certaines destructions. On peut
recréer
des places qui ne soient pas des parkings, on peut interdire les rues
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ommunauté à laquelle ils pourraient participer ?
Recréer
une communauté où l’homme puisse recouvrer la dimension civique sans
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pas de nos modèles, mais bien de la nécessité de
recréer
des cadres de participation où les citoyens puissent enfin prendre en
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rendre indépendants, de se faire « Suisses », de
recréer
des cadres de participation civique. L’autonomie énergétique d’un foy
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aujourd’hui. Plus personne ne nie la nécessité de
recréer
des petites unités. C’est le refrain de tous les sociologues un peu s