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uvais coup, ou qu’on tente d’échapper à certaines
responsabilités
en se dissimulant derrière de prétendues « fatalités », de prétendus
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’ai dit que la liberté de la personne implique sa
responsabilité
, et que la réciproque n’est pas moins vraie. La vocation dont l’appel
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s, mais en réalité inséparables, de liberté et de
responsabilité
. Or, il se trouve que toute vraie politique de la personne appelle la
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cela implique d’autogestion à tous les degrés, de
responsabilité
à tous les étages, d’aventure personnelle à courir dans une communaut
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eil fédéral : indépendance par rapport aux États,
responsabilité
devant les seuls organes fédéraux, compétences sectorielles subordonn
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uand Dieu rappelle, plutôt que de reconnaître ses
responsabilités
. Si utiles que puissent être ceux qui calculent nos risques et défini
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s allégeances, liberté garantie par l’exercice de
responsabilités
concrètes, voilà l’éthique et la philosophie du modèle de société féd
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prends dans un sens absolument global, général :
responsabilités
. C’est le mot qui est antinomique d’« irresponsabilité » générale de
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nt de notre double devoir de reconnaissance et de
responsabilité
(à l’égard de notre patrie), mais ce devoir est celui d’un accusé et
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our Tristan, « le Destin » va servir d’alibi à la
responsabilité
(culpabilité) des amants et, du même coup, à celle de l’auteur : Les
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e vous avez agi sous la contrainte, sans avoir la
responsabilité
de votre acte, vous serez acquitté. C’est parce que je crois à cette
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que je crois à cette liberté de l’homme liée à sa
responsabilité
que j’oppose à tous les États-nations l’idée de communauté régionale.
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sponsable : je tiens au mot. Car après tout, sans
responsabilité
, il n’y a pas de civisme, pas de participation du citoyen aux affaire
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je défends dans toute mon œuvre, de liberté et de
responsabilité
de la personne, d’autonomie et de fédération des groupes. b) Je suis
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ganisation commune à laquelle seront attribués la
responsabilité
et les moyens d’assurer le développement pacifique de l’énergie atomi
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lupart sont au contraire motivés par un besoin de
responsabilité
assumée dans la communauté. Comment se sentir libre si l’on n’est res
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actuelle a fait perdre à l’homme le sentiment de
responsabilité
et donc sa liberté. Villes trop vastes, trop peuplées, inhumaines. No
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il en a pour la première fois la liberté, donc la
responsabilité
. C’est à la fois le premier et le dernier choix possible. Mais quel s
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e responsables et rêvent de se décharger de leurs
responsabilités
sur le pouvoir fédéral. Ça, c’est un vice, une maladie, de la Confédé
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t plus là. Mais moi je crois à la liberté et à la
responsabilité
de l’homme. Et j’espère que le danger sera un bon maître d’école. b
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s ! Je crois qu’il faut faire appel au sens de la
responsabilité
. Mais ce n’est possible que dans de petites communautés. C’est pour c
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talité. Il en appelle à la liberté et au sens des
responsabilités
. Cet appel est apparemment entendu : l’ouvrage est un succès public.