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urée et sans cadres, pourra-t-il demain redevenir
responsable
, s’accepter soi-même, communiquer avec autrui, accéder enfin au pouvo
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s gouvernements et des états-majors. Elles seront
responsables
non pas devant les États nationaux, mais devant un parlement élu par
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la juste répartition des ressources communes, les
responsables
des agences européennes se réuniront régulièrement en un conseil exéc
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iques », on nous empêche d’élaborer une politique
responsable
, et d’agir sur nos gouvernants pour qu’ils l’appliquent. De fait, les
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damentale. Mais l’État-nation n’est pas seulement
responsable
de la décadence des liens communautaires, donc du civisme et de la mo
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re et de ses ressources. Mais qui était le Gérant
responsable
? La réponse est dangereusement simple. Les responsables sont les Éta
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sable ? La réponse est dangereusement simple. Les
responsables
sont les États-nations, nés et multipliés sur toute la terre, au xxe
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mauvaise gestion de la terre, nous tenons donc un
responsable
incontesté, l’État-nation souverain sur toutes choses et gens dans le
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vraiment libre, car là seulement il est vraiment
responsable
. Jean-Jacques Rousseau l’avait déjà bien vu et très bien dit dans le
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sur ses réalités, moins nombreux donc y sont les
responsables
de tout ordre, à tel point que dans un grand pays, il n’y a plus que
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s jeunes, de même que ce sont les jeunes qui sont
responsables
de la montée de l’idée de région. L’ambiguïté du jacobinisme libér
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rand, moins il y a de magistrats, moins il y a de
responsables
. Quand un État est tout petit, comme Genève au temps de Jean-Jacques,
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cune espèce de résistance, qui ne se sentent plus
responsables
de rien dans la cité. Ce qui se fait est fait par les autres (« Ils »
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leur affaire. Souvent les gens n’aiment pas être
responsables
de leur sort, surtout quand on les cache derrière des fatalités comme
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il faudrait développer. Justement le désir d’être
responsable
, d’être digne, à ses propres yeux de vivre et valoir quelque chose. C
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e perdu dans les mégalopolis. Le désir de devenir
responsable
de son destin doit amener au désir d’autogestion dans tous les ordres
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ur) un état de fait dont la bourgeoisie seule est
responsable
, et auquel Freud n’a voulu que donner ses vrais noms. Le Vocabulaire
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nous connaissons, l’homme ne peut plus agir comme
responsable
. Et l’homme n’est libre que s’il est responsable. C’est une vieille n
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responsable. Et l’homme n’est libre que s’il est
responsable
. C’est une vieille notion que l’on retrouve encore en justice. Si vot
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érant ? La réponse est dangereusement simple. Les
responsables
sont les 150 États-nations qui se partagent aujourd’hui la totalité (
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upes d’hommes, qui se veulent à la fois libres et
responsables
, trouvent et appliquent à temps des formules de remplacement de l’Éta
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priorités, non pas alléguées, mais réelles. Grand
responsable
de la mauvaise gestion de la planète, l’État-nation est aussi le faut
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ite et, surtout, dont on se montre digne en étant
responsable
. Responsable : je tiens au mot. Car après tout, sans responsabilité,
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ut, dont on se montre digne en étant responsable.
Responsable
: je tiens au mot. Car après tout, sans responsabilité, il n’y a pas
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berté des personnes assurées par la participation
responsable
des citoyens aux affaires de leurs communautés autonomes. Je vais don
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el de notre société, les gouvernements seuls sont
responsables
. Le dilemme devient des plus clairs : irons-nous avec eux vers l’Euro
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communauté. Comment se sentir libre si l’on n’est
responsable
de rien ? Et comment serait-on responsable si l’on n’est pas libre de
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n’est responsable de rien ? Et comment serait-on
responsable
si l’on n’est pas libre de ses actes ? N’allons pas croire pourtant q
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nir puisque les fonctionnaires des États-nations,
responsables
de fournir l’énergie aux populations, ont à faire face aujourd’hui au
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endue, donc aux citoyens d’être libres, parce que
responsables
de leur destin et des destins de la cité. Dans les énormes villes d’a
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l’avenir est notre affaire. Nous en sommes seuls
responsables
. « Mieux vaut le savoir et cesser de nous cacher derrière toutes sort
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urmonter les défis de la nature, nous voici seuls
responsables
. Car si jusqu’à nos jours l’avenir était complètement inconnu, s’il d
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prouve aujourd’hui que les États sont les grands
responsables
de la crise de notre civilisation. Ce sont eux seuls qui ont géré la
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uissance et son égoïsme sacré, il serait le grand
responsable
de l’apocalypse qui se prépare… Qui pourrait en douter ? Les États, q
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talement suicidaire, mais personne n’y songe. Les
responsables
se disent simplement : « On va essayer d’augmenter nos exportations p
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la mesure seulement où les gens renoncent à être
responsables
et rêvent de se décharger de leurs responsabilités sur le pouvoir féd
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e c’est un essai d’une morale de l’homme libre et
responsable
. Nous avons de nos jours une opposition entre les gens qui veulent la
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la personne, de l’Europe, d’une société libre et
responsable
, garde confiance. Du point de vue écologique, la guerre est la pollut
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que j’appelle depuis toujours l’individu libre et
responsable
. Vous évoquez, dans votre livre, les nombreux mouvements populaires q
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nt pas libres, n’ayant plus la possibilité d’être
responsables
, les grandes villes sont devenues des milieux d’agressivité généralis
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oujours plus d’hommes et de femmes, devenant plus
responsables
de leur ville, y soient par conséquent plus libres. by. Rougemont
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imposé, qui tombe du ciel : nous sommes les seuls
responsables
car nous avons créé une société vorace en énergie. Qui nous a obligés
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« l’avenir est notre affaire ». Nous sommes tous
responsables
de nos lendemains comme le Petit Prince l’était de sa rose, Noël est
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té de neuf, c’est d’avoir démontré que l’État est
responsable
de tout, puisqu’il revendique le contrôle de tout. Et particulièremen