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r autrui, non sur soi (comme celui que procure la
richesse
), relève du domaine réservé ou revendiqué par l’État, et sera tôt ou
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ruines morales, même « rénovées plastique »l. La
richesse
, à ce banc d’essai, se révèle une fausse valeur : elle procure le pou
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matismes, économie de l’énergie, accumulation des
richesses
…) et de la rendre ainsi disponible en vue d’autres combats et d’autre
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plus près les diversités foisonnantes qui font la
richesse
du pays. Mais dans un temps de crise comme celui qui s’est instauré d
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route, parce qu’ils pensaient en tirer de grandes
richesses
en y percevant des péages. C’est pour empêcher cette mainmise « étati
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s les avantages sur les grands : niveau matériel,
richesse
par tête, créativité intellectuelle, etc. sauf un seul : ils ne peuve
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es pays sous-développés qui étaient maîtres de la
richesse
du monde et qui n’en avaient pas conscience. Nous sommes loin d’Hitle
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s’enfouit sous la terre au milieu de ses immenses
richesses
, il s’ennuie tellement dans ses enfers qu’il voudrait tuer le plus gr