1 des particuliers : qu’on se rappelle la lutte des rois contre les féodaux, des États modernes contre les pouvoirs locaux, et

2 parce qu’à la force des lois et de sa fidélité au roi s’ajoute celle, bien plus contraignante, du dernier tabou subsistant,

3 près elle. Napoléon, ont imposée à la France. Les rois n’avaient jamais pu réunir complètement la France qui fut longtemps c

4 trouvez enfin normal que ce soit lui — comme les Rois antiques — qui dispense seul l’Énergie. Une énergie qui vous vient do

5 e collective de la tribu, du clan, de la cité, du Roi , puis de l’État moderne. Et la liberté des citoyens, des groupes, des

6 ueville qui s’éteignent, succéderont dès 1707 les rois de Prusse : ils seront Princes de Neuchâtel jusqu’en 1848. Au sud, Ge

7 et non les jacobins — déclarèrent la guerre « aux rois de l’Europe » parce que la guerre était devenue pour eux le seul moye

8 éral de Gaulle, chef de l’État, agissant comme un roi , n’avait rien pu faire de ce qu’il voulait parce que l’État c’était l

9 exemple, l’idée de l’unité qui est déjà chez les rois de France mais se développe surtout pendant la Révolution et avec Nap

10 tout autour d’elle, comme ont voulu le faire les rois de France, de Castille et d’Angleterre, pour qui faire l’unité c’étai

11 d’autoroutes qu’ils ont promises. L’État : le roi , c’est moi Les xixe et xxe siècles ont été marqués par les « éco

12 iculièrement de l’État-nation, celui qui dit : Le roi , c’est moi. Alors qu’en Suisse quand on dit le souverain, c’est toujo