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er au moyen de pratiques comme l’intercommunion «
sauvage
», ce que les instances ecclésiastiques se révèlent encore incapables
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t s’entasser, dans vingt-cinq ans. L’urbanisation
sauvage
de l’humanité annonce en effet la destruction finale du lien social,
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: pollution, désastres écologiques, urbanisation
sauvage
, gaspillage des ressources naturelles. Car cette crise, de toute évid
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le, sinon du vide civique créé par l’urbanisation
sauvage
de l’ère industrielle, de l’angoisse qui en résulte chez les individu