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st l’usage non procréateur, non fonctionnel de la
sexualité
. C’est donc au sens littéral du terme une perversion, le détournement
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ent en Europe des expressions telles qu’érotisme,
sexualité
, problème sexuel, dans les œuvres de Charles Fourier et de ses discip
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par la morale laïque autant que par l’Église, la
sexualité
n’en a pas moins envahi les salons de la peinture bourgeoise, les thé
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Proust. Le freudisme n’a nullement « déchaîné la
sexualité
» comme le répètent ceux qui l’attaquent sans le connaître. Il a seul
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ouve chez Freud l’idée d’une forme achevée de la
sexualité
et même “d’une attitude complètement normale en amour” où viennent s’
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ge, dans les livres, ne signifie nullement que la
sexualité
soit plus anarchique ou plus vigoureuse qu’en d’autres temps. C’est s
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’autres temps. C’est seulement l’expression de la
sexualité
qui n’est plus réprimée, ce qui signifie que la plupart des interdits