1 à déjà, bel et bien là, et qui est la Question du siècle , une question pure, béante, qui se posait du temps de ma jeunesse à q

2 uction multipliée par 16 384 en un peu moins d’un siècle , utopie pure) et cela grâce aux 24 000 centrales nucléaires nécessair

3  000 centrales nucléaires nécessaires à la fin du siècle , et produisant assez de plutonium pour nous tuer tous plusieurs milli

4 ce de l’homme par rapport à lui-même. Certes, les siècles ont ajouté à cette formule. Elle est devenue autre chose qu’un modèle

5 adition hébraïque et chrétienne qui a formé vingt siècles d’Europe nous dit qu’il faut aimer son prochain comme soi-même, et ce

6 nscender par « un acte de présence à la misère du siècle , une présence enfin qui soit un acte », ainsi que je l’écrirai un an

7 Révolution nécessaire, un des rares livres de ce siècle qui renouvelle la pensée politique6. Bibliothécaire à la Nationale, D

8 mal, après l’avoir si bien pratiquée pendant des siècles . Cette idée est leur histoire même. Bien avant d’être leur « message 

9 dis que dix-neuf autres « cantons », au cours des siècles , seraient « entrés » successivement dans le pacte de 1291. De fait, p

10 iversité, hors de laquelle point de salut pour ce siècle . Byzance et Rome s’embrassaient au lieu de leur rencontre créatrice.

11 our situer Théodore Strawinsky dans l’aventure du siècle , je prendrai référence du mot figuration en des sens opposés que lui

12 t exclu de la multiplier par 16 384 en moins d’un siècle , car c’est le chiffre qu’on obtient au bout de quatre-vingt-dix-huit

13 à court terme — vingt-sept ans, cinquante ans, un siècle au mieux — selon les auteurs, est calculée par de nombreux futurologu

14 ceux qui nous annoncent encore l’âge d’or pour le siècle qui vient, tel le Hudson Institute d’Herman Kahn par exemple, qui n’h

15 nes les plus littéralement bouleversants de notre siècle , les deux fléaux majeurs de l’Europe, je veux dire l’auto et Hitler.

16 omme Henry Ford l’a noté. Aujourd’hui, moins d’un siècle plus tard, c’est une nécessité primordiale pour l’homme occidental. E

17 on sans quelque emphase que le xxe siècle est le siècle des nations, que la nation est la réalité par excellence du xxe sièc

18 talitaire aussi sont des « réalités » typiques du siècle . Ce n’est pas une raison pour les accepter, moins encore pour les glo

19 s vite. Qu’elles parviendraient d’ici à la fin du siècle , à des altitudes irrespirables, où tout être humain disparaîtrait, où

20 prospérité ? Sans doute, car toute l’histoire du siècle est dominée par l’angoisse des hommes devant l’absence de communautés

21 ues sont restées les mêmes à Genève à travers les siècles . La composition de la population est entièrement nouvelle, et les Sui

22 ic… » Phrase inouïe, constat vertigineux, aveu du siècle à son tournant ! En quelques décennies, par la publicité et par elle

23 e, et même une certaine répugnance au début de ce siècle , est devenue le besoin numéro un de la plupart des Occidentaux. Mais

24 art des Suisses dans les années 1945 à 1950 de ce siècle vont trouver leur expression la plus juste dans la formule par laquel

25 le tabou de la neutralité constituaient depuis un siècle l’article principal du catéchisme de notre politique étrangère. Dans

26 entifiques, écologiques, etc. que les réalités du siècle imposent à nos États, entraîne nécessairement des dépassements de la

27 nts de la « souveraineté nationale » telle que le siècle dernier pouvait encore la définir. Les problèmes concrets qui se pose

28 t de Tristan. La révolution chrétienne Cinq siècles après Platon, Plutarque fait un premier éloge du mariage d’amour : « 

29 es de sentir, et nos mœurs, et nos arts, pour des siècles  ? Ne serait-elle pas au contraire le signe d’une révolution plus géné

30 re de l’Éros en Occident, des troubadours à notre siècle , se confond avec celle des expressions du désir, du sentiment et de l

31 ecret du pouvoir immodéré qu’il exerce depuis des siècles sur l’affectivité occidentale ? Le dernier tabou, le plus fort

32 e la culture qu’on baptise aujourd’hui « le Grand Siècle  », la passion imagine des formes qui vont l’avouer dans toute sa forc

33 les règles de la cortezia et devient le héros du siècle où les cyniques donnent le ton aux mœurs et à l’esprit. Or, ceux qui

34 ue plus révélateurs de l’inconscient collectif du siècle et des motivations qu’il subit. Sade est, de toute évidence, un malad

35 re que cette littérature anticourtoise remplit le siècle , de la Régence à la Révolution. Ce serait oublier son plus grand écri

36 ion mortelle. Ainsi l’on a passé, en plus de cinq siècles de progressive sensibilisation, des mœurs au mythe, avec l’usure et l

37 t un sens aux mots comme les troubadours quelques siècles plus tôt. Mais la société pour laquelle ils travaillaient dépassait r

38 ura été plus créateur que les grands ténors de ce siècle . Piéton tranquille sur les chemins de l’histoire, il a frayé la voie

39 ous le signe de l’union continentale. ⁂ Depuis un siècle et demi, les nations se sont multipliées, et elles se sont bardées de

40 ets de concerts, de ballets, d’opéras de tous les siècles qui, durant la saison prochaine, animeront l’Europe pour la joie de c

41 évolution sociale. 4. Au xixe et au début de ce siècle , la musique était confinée dans les salles de concert, séparée de la

42 la communauté chrétienne contre les infidèles. De siècle en siècle, l’idée renaît à mesure que l’État se renforce. Au xve siè

43 uté chrétienne contre les infidèles. De siècle en siècle , l’idée renaît à mesure que l’État se renforce. Au xve siècle, le ro

44 ura été plus créateur que les grands ténors de ce siècle . Piéton tranquille sur les chemins de l’Histoire, il a frayé la voie

45 vos unicités ? Cela ne se fera jamais dans aucun Siècle , mais seulement en chemin vers le vrai But de tous, et en Lui seul. D

46 bsolument tout ce qui va se passer à la fin de ce siècle . S’agissant de définir le pouvoir, Jeanne Hersch n’a pas prétendu fai

47 onc ni l’anarchie, ni la révolution à la mode des siècles derniers qui peuvent nous secourir dans cette tragédie car cette « pr

48 es nucléaires accumulés pendant le petit quart de siècle qui nous sépare de l’an 2000. À l’inverse absolu, le choix de l’énerg

49 ations politiques de ce qu’il nomme « le Choix du siècle  » que l’auteur de L’Avenir est notre affaire estime urgent de souli

50 nsi que Neuchâtel qui avait entretenu pendant des siècles des liens étroits avec la Franche-Comté (sa charte de franchises, 121

51 térêts divergents de nos cinq cantons au long des siècles ), ou encore que l’analogie de régime politique (une Principauté héréd

52 que purement littéraires. Les deux grands noms du siècle , en Suisse romande, sont Alexandre Vinet et Henri-Frédéric Amiel, c’e

53 ral ; ces traits ont caractérisé depuis plus d’un siècle , aux yeux des étrangers du moins, le Suisse romand d’empreinte réform

54 mode de vie et de pensée, caractérise depuis des siècles l’arc jurassien qui va de Genève à Bâle-Campagne, avec des prolongeme

55 rlèrent nos populations du ixe au début du xixe siècles . » Je devais découvrir peu après que Pictet de Rochemont, porte-parol

56 — elle ne date guère que de la seconde moitié du siècle passé — d’un complexe de petites unités territoriales qui menaient ch

57 vous dénoncez ont quand même édifié au cours des siècles une langue et une culture commune ? L’État-nation que je dénonce a 18

58 l. […] Hitler a répondu à la question centrale du siècle , qui est religieuse au sens élémentaire, en offrant une camaraderie,

59 donc qu’après l’avoir exploité pendant plusieurs siècles l’Occident pourrait au moins lui épargner de nouvelles désillusions.

60 e n’était pas maîtrisée, il suffirait de quelques siècles pour que chaque mètre carré de notre planète soit occupé par une diza

61 , j’ai mêmeas écrit un livre intitulé Vingt-huit siècles d’Europe dans lequel je m’étais amusé à collectionner tous les texte

62 ue à Tamanrasset ! » Mais pourquoi est-ce à notre siècle en particulier que vous faites dans votre livre ce procès du « mythe

63 trop grands, ils n’ont plus rien à faire dans ce siècle . Je n’accuse pas les gouvernants d’être méchants, mais totalement ina

64 ologues affirmaient naguère encore qu’à la fin du siècle , quatre cinquièmes de l’humanité s’entasseraient dans des villes de p

65 oi faut-il aller ? 4. L’option fondamentale du siècle Au dernier quart du xxe siècle, la société occidentale atteint le

66 d’ouvrages : Penser avec les mains , Vingt-huit siècles d’Europe , Journal d’une époque , et le livre qui lui a apporté la c

67 bas de la longue histoire qui s’écrit depuis des siècles . bz. Rougemont Denis de, « [Entretien] Demain, le soleil », Franc

68 L’État : le roi, c’est moi Les xixe et xxe siècles ont été marqués par les « économies d’échelle » qui ont conduit à une