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berté de chaque personne que vient s’enraciner la
solidarité
du genre humain. Ainsi de la notion de personne considérée comme le r
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fasse appel aux ressorts humains de l’économie :
solidarité
, collaboration, initiative, émulation, lutte, risque, profit… (ON 22-
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ns bien définies. Mais alors là, sans réserve, en
solidarité
. Voilà au fond ce que j’appelle fédéralisme, et qui résume toute ma d
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init la politique suisse dès 1946 : Neutralité et
solidarité
. Où l’on voit bien que la volonté de solidarité compense cette gêne q
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t solidarité. Où l’on voit bien que la volonté de
solidarité
compense cette gêne que l’on éprouve au chevet de l’Europe malade. Ma
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le tabou, et une conception active, invoquant la
solidarité
. La neutralité-tabou entraîne notre refus d’adhérer aux Nations unies
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politique mondiale, et ce choix se pose entre la
solidarité
et l’égoïsme. Un égoïsme fermé sur soi-même, dans nos frontières, com
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culaires de nos États occidentaux, le souci de la
solidarité
générale à la hantise des rivalités nationales, les règles de la paix
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nos pays, c’est l’idée de créer entre États des «
solidarités
de fait », expression d’ailleurs empruntée au Projet rédigé par Alexi
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is principes suivants : 1. Favoriser ou créer des
solidarités
de fait. 2. Les garantir par des institutions et des règles communes.
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en faire une collectivité inerte ; à remplacer la
solidarité
par l’alignement et l’impôt, les relations entre prochains par la pro