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excédant les forces de chacune d’elles isolément.
Solution
optimale de ces exigences contradictoires : distribuer les pouvoirs d
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es à la Confédération…) Or c’est exactement cette
solution
qui serait susceptible de résoudre les principales difficultés de la
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ntérêts particuliers à l’échelle des régions ? La
solution
la plus raisonnable et la plus rapidement réalisable paraît préfiguré
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on la constate différente, et qu’elle appelle des
solutions
spécifiques. Ces solutions spécifiques, par la suite, seront-elles va
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et qu’elle appelle des solutions spécifiques. Ces
solutions
spécifiques, par la suite, seront-elles valables pour le reste du mon
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uelle qu’elle a d’une région. Des possibilités de
solutions
qui pourraient être données sur une base autonome, autogérée, et à pa
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iscuter —, mais la traiter de péché n’est pas une
solution
et empêche même d’en trouver une, car si elle est un péché, il faut l
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le succès d’Henry Ford. Partant de l’idée que les
solutions
à notre crise économique ne sont pas économiques, mais spirituelles,
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aitement illusoire et utopique d’imaginer que des
solutions
suisses puissent être un seul instant prises au sérieux par les « pui
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ident que le fédéralisme de formule suisse est la
solution
qui s’impose si l’on veut vraiment « faire l’Europe », c’est-à-dire n
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d’abord, et encore moins économiques d’abord. La
solution
de nos problèmes économiques est à chercher sur un tout autre plan qu
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urope de l’Est comme pour l’Europe de l’Ouest, la
solution
me paraît consister dans la structure de petites régions fonctionnell
13
n problème d’actualité, en vue de lui trouver des
solutions
pratiques, et non pas d’une recherche fondamentale ? J’avoue que je s
14
s problèmes du présent, enfin à leur imaginer des
solutions
. C’est dire que le non-savoir, motif de toute recherche, et le virtue
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ir au théâtre grec, avec son chœur ? Ce serait la
solution
formelle ; encore faudrait-il l’adapter à la structure chrétienne du
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’autre aggraverait la séparation. Reste une seule
solution
, qui est de longer la rivière jusqu’à sa source, là où les deux pente
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t la solaire. Car l’une comme l’autre de ces deux
solutions
implique et détermine de proche en proche des systèmes de causes et d
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mplacer le pétrole ? Pour l’avenir prochain, deux
solutions
semblent passer toutes les autres en importance virtuelle, non seulem
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s, mais on doit convenir avec lui de l’urgence de
solutions
. Pour étayer votre thèse, Denis de Rougemont, vous parlez d’une « cri
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tous nos États-nations. Vous semblez trouver une
solution
à tous vos problèmes dans la régionalisation ? N’allons pas trop vite
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ssible. Mais comment pourrions-nous aboutir à ces
solutions
? Je ne pense pas que les hommes vont devenir sages dans les dix anné
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bien, posez la question : « Est-ce qu’il y a une
solution
au problème des déchets ? » Pas un savant sérieux ne peut dire qu’il
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jet Paris-New York, Denis de Rougemont propose la
solution
toute simple, qui économise seize milliards. Il suffirait de supprime
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e et la gauche. Le nucléaire pourrait-il être une
solution
aux problèmes d’énergie ? Là encore, soit dit en passant, le parti co