1
t clairement le sujet de notre table ronde : pour
sortir
de la Crise mondiale, de ses contradictions et de ses impasses, il fa
2
gt le plat qu’on veut), et ce soir je décide de «
sortir
» : des amis m’ont invité « après le dîner ». Je sors. Je vais marche
3
» : des amis m’ont invité « après le dîner ». Je
sors
. Je vais marcher, me dis-je, mais j’ai faim. J’entre au hasard dans u
4
ple se met à rendre les rênes à un autre pour son
sort
quotidien, pour ce qu’il doit penser, pour ce qu’il doit acheter, pou
5
qu’une expression régionale spontanée pourrait en
sortir
? On voit mal comment… La description que vous faites de la mentalité
6
s. Il faut faire le contraire, c’est-à-dire faire
sortir
la communauté du sol comme on fait pousser un arbre, au lieu de plant
7
t les gens n’aiment pas être responsables de leur
sort
, surtout quand on les cache derrière des fatalités comme Adam se cach
8
ent la conférence de La Haye en 1948, d’où devait
sortir
le Parlement européen, le Conseil de l’Europe et le Marché commun. Eu
9
Breton, qui expulsa le personnage sur l’heure : «
Sortez
! tonna-t-il. Et je me réjouis de ne plus jamais rencontrer sur mon c
10
otre sale gueule de faux témoin ! » Le malheureux
sortit
de la salle, insulté jusqu’à la moelle, chassé du paradis. Et là, il
11
plus —, que les occupants de Kaiseraugst étaient
sortis
de la légalité et qu’ils étaient les « fossoyeurs de la démocratie ».
13
mmes encore très loin d’infliger aux opposants le
sort
que connaissent les écrivains soviétiques ? Nous sommes préservés con
14
4 juin. s. Rougemont Denis de, « [Entretien] Le
sort
des écrivains emprisonnés constitue un drame et un avertissement », L
15
tions ? C’est le cercle vicieux dont il s’agit de
sortir
. Il faut que ses auteurs commencent. 2) L’État-nation peut faire auta
16
un temps bref mais décisif, deux institutions au
sort
desquelles j’avais eu le bonheur de l’intéresser : le Centre européen
17
on compte. Quelques-uns cherchaient les moyens de
sortir
de leur isolement, mais ils ne trouvaient pas de formule efficace. Un
18
guerre paraissait imminente, j’étais en train de
sortir
mes uniformes d’une malle. Je ne trouvais pas de « sujet national » à
19
projet « son affaire » et en engageant sur lui le
sort
de sa propre politique européenne, Robert Schuman a transformé un tex
20
un temps bref mais décisif, deux institutions au
sort
desquelles j’avais eu le bonheur de l’intéresser, le Centre européen
21
l’un d’eux : Mais personne n’est jamais entré ni
sorti
, depuis des mois que j’attends ici ! À quoi le gardien répond : Elle
22
t de terminer L’Avenir est notre affaire qui va
sortir
incessamment en librairie (Éditions Stock). Denis de Rougemont est di
23
les mass médias et la « morale » du marketing. Le
sort
de l’an 2000 se joue dans les leçons de nos écoles secondaires. Or qu
24
. Tout peut se jouer dans les dix ans à venir. Le
sort
de l’humanité se décidera en fonction de ce que nous allons choisir.
25
l’énergie transformatrice, sinon nous ne nous en
sortirons
pas. Cette énergie proviendra des finalités, des buts proprement huma
26
L’Avenir est notre affaire paru cet automne, est
sorti
au bon moment. En juin dernier, c’eût encore été trop tôt. Mais cet é