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t « qu’il existe une règle de droit antérieure et
supérieure
à l’état, et qui s’impose à lui » (ON 29, p. 19). Sur ce thème centr
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nnelles. (ON 16) Personne. Elle est toujours «
supérieure
à l’état ». La personne reste à jamais supérieure à tout état donné,
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supérieure à l’état ». La personne reste à jamais
supérieure
à tout état donné, l’homme dépasse toujours : la transcendance de cet
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, issue de l’élan des personnes considérées comme
supérieures
à tout. (Cahier de revendications, NRF, décembre 1932.) ⁂ Tout, dans
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tique de « l’élan des personnes considérées comme
supérieures
à tout ». On peut concevoir la nécessité de l’Europe unie en partant
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hes soient attribuées à des communautés de niveau
supérieur
, continentales le plus souvent, parfois mondiale. C’est ainsi que le
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ignifie pas un instant qu’on tienne l’Europe pour
supérieure
— ou inférieure — à telle autre partie du monde ; mais bien qu’on la
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ier serait un pouvoir continental qui serait bien
supérieur
à celui des États-nations, et l’autre serait le pouvoir des régions p
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ucation de base et des impasses de l’enseignement
supérieur
, du vieux duel de la commune et de l’État, de la montée d’un « matéri
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’horlogerie, l’industrie lourde ou l’enseignement
supérieur
. Enfin, la double anxiété simultanée d’avoir trop ou trop peu de main
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endant, la fécondité spirituelle reste l’attribut
supérieur
de l’Éros véritable. Il est bien certain que la conception platonici
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, et l’institution d’une Cour suprême, « instance
supérieure
aux États, à laquelle puissent en appeler les personnes et les collec