1 ’une vocation communautaire n’est pas fonction du territoire occupé par le groupe humain qui en est le porteur. Les Suisses sont

2 nale, et de faire coïncider, par décret, avec les territoires délimités par les cordons douaniers. Comment, dès lors, concevoir un

3 a mode d’avant-hier, et de nombreux aménageurs du territoire , presque tous les futurologues que je connais me paraissent pécher ég

4 é des gouvernants est d’autant plus faible que le territoire est plus exigu, et l’État moins fort : les pétroliers font davantage

5 de rivages inexorablement bétonnés — déjà 18 % du territoire hollandais. Ses vapeurs obscurcissent, en plein midi, le ciel de nos

6 us limiter la coopération fédéraliste à leur seul territoire actuel. Autrement dit, et pour paraphraser l’un des slogans célèbres

7 e l’implantation de centrales nucléaires sur leur territoire . Les Uranais défendaient la possibilité pour eux de vivre libres et à

8 gent aujourd’hui la totalité (sans nul reste) des territoires de la planète. Ils ont tout calculé pour leur guerre, dont tous sont

9 ’aires diverses — chacune ayant pour extension le territoire de sa réalité — ne naîtront pas de nos modèles, mais bien de la néces

10 fforce à la traversée clandestine et craintive du territoire des tabous de la bourgeoisie. Deux pensées de Vinet me paraissent déf

11 ité, par exemple, de voir aujourd’hui que 18 % du territoire de la Hollande est bétonné, ce qui est une catastrophe du point de vu

12 habitation, de l’urbanisme et de l’aménagement du territoire , La Haye, décembre 1977, p. 145-148.

13 ir des régions, nécessaires pour l’aménagement du territoire et la lutte contre la pollution. C’est l’Amérique qui a exporté l’inf