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de, mais il est anormal qu’il se voie pour autant
traité
de « fauteur de désordre ». Car le plus profond des désordres, c’est
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as « la nation organisée » (comme l’affirment les
traités
de droit français de l’époque). Il n’est pas « la Société », ni « la
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ères politiques nées du hasard des guerres et des
traités
: la langue française moins que toute autre, puisqu’au-delà des trois
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s ont n’importe quelles dimensions, au hasard des
traités
et des guerres : les armées se sont arrêtées par hasard là. Il n’y a
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onction traditionnelle définie et garantie par le
traité
de Vienne (1815), elle veut s’étendre désormais au monde entier. Et c
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est apparu que notre neutralité, garantie par le
traité
de Vienne comme étant « dans les intérêts de l’Europe entière », veut
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re, c’est ce vocabulaire qui sera repris dans les
traités
européens de l’après-guerre. Mais ce qui exige alors d’être expliqué,
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atre autres signataires du Pacte de Bruxelles. Le
traité
instituant le Conseil de l’Europe fut paraphé au palais Saint-James,
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Capitole de Rome, les Six paraphent le texte des
traités
instituant le Marché commun et Euratom. Ces deux organismes, avec la
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t choisi le thème du pouvoir. Le nœud du problème
traité
hier soir par Jeanne Hersch c’est, peut-être, ce sentiment d’impuissa