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p de gens, au lendemain de la guerre, qu’il était
vital
de « faire l’Europe » comme on disait, d’arriver à une union fédérale
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jourd’hui le genre humain, n’est-il pas urgent et
vital
de substituer aux États-nations souverains des pléiades de régions ou
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que écrasé. Aujourd’hui, on découvre la nécessité
vitale
d’introduire le fédéralisme dans les relations entre les Européens, e
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émique, mais bien qu’il touche à quelque chose de
vital
pour toute une civilisation, dont le monde académique n’est qu’une pa
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les moyens de survivre de l’Europe est simplement
vital
pour toute notre culture. Croyez-vous que l’Université n’est pas inté
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il s’agissait de bien autre chose, d’une réaction
vitale
, fondamentale : ni le modernisme catholique, ni le libéralisme protes
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aître, mais le besoin « d’être ensemble » demeure
vital
. […] Hitler a répondu à la question centrale du siècle, qui est relig