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anière pathétique, parce qu’on peut renverser des
voitures
dans la rue, un dictateur dans son palais, mais on ne peut renverser
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rer chez moi dare-dare. Tram n° 5. Je saute de la
voiture
encore en marche à l’arrêt facultatif d’Areuse et cours vers la maiso
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ée de la VW sous Hitler !) En 1908 il vend 10 000
voitures
. En 1910, 35 000. En 1924, il fabrique 7500 voitures par jour. Aujour
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tures. En 1910, 35 000. En 1924, il fabrique 7500
voitures
par jour. Aujourd’hui, les USA produisent douze millions de voitures
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Aujourd’hui, les USA produisent douze millions de
voitures
par an. La General Motors est la plus grande firme du monde, l’indust
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es 10 000 km par an, doit consacrer pour payer sa
voiture
, son essence, ses impôts, son garage, etc., tant de journées de trava
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évolutionnaire. Je pense qu’on peut renverser des
voitures
dans la rue, qu’on peut renverser un dictateur, un système parfaiteme
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s sont envahies par le flot de la circulation des
voitures
. On a détruit les bases mêmes de la démocratie, c’est-à-dire les lieu
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pas des parkings, on peut interdire les rues aux
voitures
, cela demande une renaissance de l’esprit communal, de l’esprit d’ass
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autobiographie. En 1892, il construit sa première
voiture
. « On la considérait plutôt comme une peste, écrit-il, à cause de son
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is il n’existe encore dans le monde guère plus de
voitures
que d’inventeurs, et ces fantaisies pour millionnaires resteront sans
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assurément, vouée à l’oubli rapide, telle est la
voiture
automobile que Messieurs Benz et Daimler viennent de présenter au Kai
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t le dernier venu. En 1909 il vend dix-huit-mille
voitures
, mais dix ans plus tard, un million. Quand il meurt en 1947, la Gener
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remplit sans nous consulter les réservoirs de nos
voitures
, c’est le pompiste. Or tout le monde sait aujourd’hui qu’il y a du pé
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r la croissance et à fabriquer de plus en plus de
voitures
et de plus en plus d’autoroutes. Il n’est pas besoin d’être prophète
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ces. Par exemple, la panne générale de toutes les
voitures
parce qu’il n’y aura plus de pétrole pour les faire rouler. Donc, je
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n y montrait, avec une étonnante lucidité, que la
voiture
ne correspondait au départ à aucun besoin humain existant (les Améric
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sert ? » Si l’on s’était interrogé à propos de la
voiture
, on aurait évité, par exemple, de voir aujourd’hui que 18 % du territ
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e Henry Ford qui trahit ce rêve d’adolescent (une
voiture
pour être libre) lorsqu’il s’aperçoit que les Américains n’ont pas te
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e les Américains n’ont pas tellement envie de ses
voitures
. Par la force de la publicité, il les persuade qu’ils ne pourraient p