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oins de prévoir les événements que d’orienter les
volontés
. Si les deux tables rondes diffèrent visiblement, c’est moins encore
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sont, trop évidemment, que les alibis, soit de la
volonté
de puissance des États et de leurs grandes agences techniques, soit d
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uyants, transmuées en lucidité et nourrissant une
volonté
aussi tenace que dénuée d’illusions romantiques. Au demeurant, des mi
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l’ordre dans l’être collectif, comme la santé, la
volonté
, etc., dans l’animal, n’est le fruit d’aucune initiative particulière
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ui n’avaient guère en commun que l’essentiel : la
volonté
de rester libres à leur manière — et seule l’union confédérale le per
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ssibilité : aussi loin du repli résigné que de la
volonté
de dominer (ne fût-ce que moralement) ou de se poser en modèle exempl
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e crois sa formule la plus simple — est née de la
volonté
typiquement occidentale de croissance illimitée dans un monde dont no
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ns nouveaux « justifiant », si l’on peut dire, la
volonté
de produire toujours plus, d’où la publicité et le marketing ; la ren
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eutralité et solidarité. Où l’on voit bien que la
volonté
de solidarité compense cette gêne que l’on éprouve au chevet de l’Eur
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ent soulignées, dans le pacte du Grütli, c’est la
volonté
d’exercer une justice « indigène » : nous ne voulons pas de juges étr
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sse se trouve ce qu’on appellerait aujourd’hui la
volonté
d’autonomie locale et d’autogestion. C’est surtout à partir de 1848 q
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t le réflexe d’autogestion, qui se traduit par la
volonté
de se défendre sur place, fût-ce au prix d’une illégalité. On a beauc
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, les règles de chevalerie : tout indique la même
volonté
d’imposer une retenue aux instincts, de mettre une distance entre les
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début, un refus général d’informer le public, une
volonté
certaine de l’empêcher de savoir à temps ce qui se prépare, et de le
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au service des autonomies — et non l’inverse. La
volonté
d’unir tous les peuples du continent, ceux de l’Est compris, est affi
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est une espèce de représentation collective, une
volonté
collective, souvent mythique, et la liberté est la poursuite de la li
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aines auxquelles chaque modèle nous conduit. Deux
volontés
, deux forces, deux passions se manifestent dès les origines dans l’hi
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, une minorité très restreinte est motivée par la
volonté
de puissance exercée sur autrui, ce sont les chefs ; mais la plupart
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des communes, des régions à la fois autonomes par
volonté
civique et incapables par leurs dimensions de déclencher et d’entrete
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elles seules sont à la mesure des hommes, de leur
volonté
et de leur voix. Et de s’en prendre à l’école avec la véhémence du pr
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emiers à formuler concerne l’État-nation. Avec sa
volonté
de puissance et son égoïsme sacré, il serait le grand responsable de
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our. Ils ont en commun le mépris de l’autre et la
volonté
de puissance. Certes, ils ont affaire avec le sublime mais aussi, tou
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hrétien, mais je trouve trop facile qu’on appelle
volonté
divine ce qui nous échappe. Que peut l’homme sur son destin ? Par sa