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ain qui existe seul en Occident et à ce moment. L’
Église
va donc s’organiser dans les structures de l’Empire, comme sa doctrin
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a du secrétaire général du Conseil œcuménique des
Églises
, Willem Visser ’t Hooft. De ces rencontres clandestines sortira un do
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os foyers et en public, dans nos partis, dans nos
églises
, dans nos milieux professionnels et syndicaux, les hommes et les gouv
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e étrange, Ramuz ne montre jamais ses paysans à l’
église
du village, ni leurs pasteurs. Mais on sent la Bible présente dans le
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officielle dans son royaume (contre le latin de l’
Église
et des traités, mais aussi contre les langues différentes des nationa
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ropéenne de l’homme : antiquité et christianisme,
Église
et État, catholicisme et protestantisme, attachements régionaux et se
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nées et composées bon an mal an sous l’égide de l’
Église
d’Occident et dans ses hiérarchies romaines, puis évangélisées par de
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Boegner, Pasteur, président de la Fédération des
Églises
protestantes de France, Paul Bret, Directeur de l’Agence France-Press
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nationales de la presse ou de la radio, hommes d’
Église
et syndicalistes. La Conférence culturelle de Lausanne a initié ou cr
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plupart des cas, le « Seigneur » invoqué par les
églises
chrétiennes, c’est Jésus, c’est le Christ, ce n’est pas le Jéhova ou
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se donnent un pape et opposent à l’orthodoxie des
Églises
constituées leur terrorisme et leur inquisition, à la fois au-dehors
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e qui m’intéresse, c’est la doctrine concernant l’
Église
universelle, implicitée par le fait même qu’il existe un effort œcumé
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s lors que nous prononçons : « Je crois la sainte
Église
universelle ». Et je me bornerai ici à en souligner quelques traits q
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de surmonter. C’est dans la mesure exacte où les
Églises
ont voulu transformer la foi à l’Una Sancta en une assurance visible
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l permis d’en appeler aussi au précédent des sept
Églises
d’Asie, possédant chacun leur ange ? Ou à la parole « Soyez un comme
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eler les orthodoxies existantes dans les diverses
Églises
, mais au contraire, elle a pour premier effet de les renforcer en les
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e s’adresse pas aux dissidents virtuels de chaque
Église
, mais à leurs membres les plus fidèles. Toutefois, cette méthode n’es
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à n’admettre plus de recours direct au chef de l’
Église
, lequel est au ciel à la droite de Dieu, et non pas sur la terre, dan
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crits, ou dans tel prophète local. Certes, aucune
église
ou secte n’a jamais été capable, grâce à Dieu, de se fermer totalemen
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talement aux inspirations du Saint-Esprit. Aucune
Église
ou secte n’a jamais nié que son chef réel fût au ciel, mais plusieurs
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’union transcendant qui assure la permanence de l’
Église
universelle, certaines ont ajouté, et peu à peu substitué en fait, un
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t qu’à Dieu. S’il sort, c’est avec amertume, et l’
Église
qu’il fondera peut-être sera opposée à l’ancienne, au lieu d’être seu
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pparaît humainement vérifiable, l’orthodoxie de l’
Église
se « ferme » sur elle-même. D’où les schismes nombreux, dès cette épo
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les schismes nombreux, dès cette époque, dans les
Églises
calvinistes. Une Église qui prétend se suffire et posséder son princi
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s cette époque, dans les Églises calvinistes. Une
Église
qui prétend se suffire et posséder son principe d’unité, une Église q
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se suffire et posséder son principe d’unité, une
Église
qui tend à se fermer par le haut pour mieux assurer sa cohésion humai
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le cœur à être un bon cœur. Notons aussi que les
Églises
qui ne représentent pas spirituellement une fonction distincte, mais
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i oppose l’unité et la division dans le plan de l’
Église
, correspond terme à terme le conflit qui oppose la collectivité et l’
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à la question des temps la réponse éternelle de l’
Église
. Qu’est-ce que l’Église primitive, dans la perspective sociologique o
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la réponse éternelle de l’Église. Qu’est-ce que l’
Église
primitive, dans la perspective sociologique où nous nous plaçons ici
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rétiennes, ou pour mieux dire, des créations de l’
Église
chrétienne. Dans la personne ainsi définie se résout l’éternel confli
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e, les mêmes structures que dans la doctrine de l’
Église
universelle esquissée plus haut ; la même position centrale définissa
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sme reconnaît pareillement leur valeur (paroisse,
églises
diverses, ordres). C’est en effet dans le groupe local que la personn
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me et le fédéralisme en remplaçant « âmes » par «
églises
» et par « régions ». Enfin nous ne devons pas hésiter à compléter no
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rtis est un appel à une autorité nouvelle. Si les
Églises
n’y répondent pas, personne d’autre, je le crains, ne répondra. Avant
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ns, ne répondra. Avant même de se demander si les
Églises
peuvent répondre, il faut qu’elles comprennent qu’elles le doivent. M
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s pas dans la réalité de la foi ? Certes ! Si les
Églises
sont fidèles à leur chef, elles savent qu’il règne et crée pour ceux
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mpuissance apparente où se voient aujourd’hui les
Églises
, si cette foi seule demeure, elle sera suffisante. Aussi bien certain
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nte. Aussi bien certaines raisons de croire que l’
Église
peut agir, raisons que je vais énumérer, sont-elles moins destinées à
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en est résulté dans le peuple, le sentiment que l’
Église
et l’État formaient un tout, et constituaient à eux deux le Pouvoir.
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ays calvinistes, au contraire, la séparation de l’
Église
et de l’État a toujours été réelle — même lorsqu’elle n’était pas str
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e siècle, ont accompli leur Réforme au sein de l’
Église
traditionnelle, sans rupture violente (surtout en Suède). Un contenu
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une uniformité de gouvernement pour les diverses
Églises
qui se réclamaient de sa réforme. L’Una Sancta nous apparaît ici-bas,
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selon ses propres termes, « dans la diversité des
Églises
et des personnes particulières ». Elle doit donc s’organiser en fédér
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ssance liturgique qui va de pair, dans toutes les
Églises
, avec l’effort œcuménique, est en train de recréer un langage commun,
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une action risquée. De même que nous avons vu les
Églises
nées des missions en terre païenne se placer à l’avant-garde du mouve
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tifier les procès de Moscou et la persécution des
églises
. Mais je relis les onze numéros de notre revue : il n’y est jamais qu
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ubjectivité comme vérité présente à soi-même »65
Église
— fidèle Religion — Foi Cité — personne Orthodoxie désigne courammen
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r l’Individu (au sens kierkegaardien) mais pour l’
Église
(ou le Parti), l’ordre et la gloire de l’institution. Entre les deux,
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i, et non tel qu’on l’entend — maîtres, coutume d’
Église
ou règlements de la société. Comment pourriez-vous, « hérétiques »,
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le vrai but de tous, et en Lui seul. D’ici là, l’
Église
véritable ne saurait exister que dans l’attente ardente et dans cette
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e.) Au-delà de toute appartenance communautaire —
Église
ou secte, « loge invisible » ou disciplines d’un ésotérisme rigoureux
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quelques dizaines de mètres d’une des plus belles
églises
de la région. L’évolution politique qui s’amorce en France ne pouvait