1 1978, Articles divers (1978-1981). L’Europe est une culture commune (1978)
1 ain qui existe seul en Occident et à ce moment. L’ Église va donc s’organiser dans les structures de l’Empire, comme sa doctrin
2 1978, Articles divers (1978-1981). De l’Europe des États coalisés à l’Europe des peuples fédérés (mai 1978)
2 a du secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises , Willem Visser ’t Hooft. De ces rencontres clandestines sortira un do
3 os foyers et en public, dans nos partis, dans nos églises , dans nos milieux professionnels et syndicaux, les hommes et les gouv
3 1978, Articles divers (1978-1981). Ramuz, Présence de la mort [préface à la traduction américaine] (24 septembre 1978)
4 e étrange, Ramuz ne montre jamais ses paysans à l’ église du village, ni leurs pasteurs. Mais on sent la Bible présente dans le
4 1979, Articles divers (1978-1981). Un foyer de culture (janvier 1979)
5 officielle dans son royaume (contre le latin de l’ Église et des traités, mais aussi contre les langues différentes des nationa
5 1979, Articles divers (1978-1981). Considérations sur une charte culturelle européenne : mémorandum (17 décembre 1979)
6 ropéenne de l’homme : antiquité et christianisme, Église et État, catholicisme et protestantisme, attachements régionaux et se
6 1980, Articles divers (1978-1981). L’Europe, invention culturelle (1980)
7 nées et composées bon an mal an sous l’égide de l’ Église d’Occident et dans ses hiérarchies romaines, puis évangélisées par de
8 Boegner, Pasteur, président de la Fédération des Églises protestantes de France, Paul Bret, Directeur de l’Agence France-Press
9 nationales de la presse ou de la radio, hommes d’ Église et syndicalistes. La Conférence culturelle de Lausanne a initié ou cr
7 1980, Articles divers (1978-1981). L’avis de Denis de Rougemont [sur Invocation du nom de Dieu et Constitution fédérale] (1980)
10 plupart des cas, le « Seigneur » invoqué par les églises chrétiennes, c’est Jésus, c’est le Christ, ce n’est pas le Jéhova ou
8 1981, Articles divers (1978-1981). Fédéralisme, personnalisme, œcuménisme (1981)
11 se donnent un pape et opposent à l’orthodoxie des Églises constituées leur terrorisme et leur inquisition, à la fois au-dehors
12 e qui m’intéresse, c’est la doctrine concernant l’ Église universelle, implicitée par le fait même qu’il existe un effort œcumé
13 s lors que nous prononçons : « Je crois la sainte Église universelle ». Et je me bornerai ici à en souligner quelques traits q
14 de surmonter. C’est dans la mesure exacte où les Églises ont voulu transformer la foi à l’Una Sancta en une assurance visible
15 l permis d’en appeler aussi au précédent des sept Églises d’Asie, possédant chacun leur ange ? Ou à la parole « Soyez un comme
16 eler les orthodoxies existantes dans les diverses Églises , mais au contraire, elle a pour premier effet de les renforcer en les
17 e s’adresse pas aux dissidents virtuels de chaque Église , mais à leurs membres les plus fidèles. Toutefois, cette méthode n’es
18 à n’admettre plus de recours direct au chef de l’ Église , lequel est au ciel à la droite de Dieu, et non pas sur la terre, dan
19 crits, ou dans tel prophète local. Certes, aucune église ou secte n’a jamais été capable, grâce à Dieu, de se fermer totalemen
20 talement aux inspirations du Saint-Esprit. Aucune Église ou secte n’a jamais nié que son chef réel fût au ciel, mais plusieurs
21 ’union transcendant qui assure la permanence de l’ Église universelle, certaines ont ajouté, et peu à peu substitué en fait, un
22 t qu’à Dieu. S’il sort, c’est avec amertume, et l’ Église qu’il fondera peut-être sera opposée à l’ancienne, au lieu d’être seu
23 pparaît humainement vérifiable, l’orthodoxie de l’ Église se « ferme » sur elle-même. D’où les schismes nombreux, dès cette épo
24 les schismes nombreux, dès cette époque, dans les Églises calvinistes. Une Église qui prétend se suffire et posséder son princi
25 s cette époque, dans les Églises calvinistes. Une Église qui prétend se suffire et posséder son principe d’unité, une Église q
26 se suffire et posséder son principe d’unité, une Église qui tend à se fermer par le haut pour mieux assurer sa cohésion humai
27 le cœur à être un bon cœur. Notons aussi que les Églises qui ne représentent pas spirituellement une fonction distincte, mais
28 i oppose l’unité et la division dans le plan de l’ Église , correspond terme à terme le conflit qui oppose la collectivité et l’
29 à la question des temps la réponse éternelle de l’ Église . Qu’est-ce que l’Église primitive, dans la perspective sociologique o
30 la réponse éternelle de l’Église. Qu’est-ce que l’ Église primitive, dans la perspective sociologique où nous nous plaçons ici 
31 rétiennes, ou pour mieux dire, des créations de l’ Église chrétienne. Dans la personne ainsi définie se résout l’éternel confli
32 e, les mêmes structures que dans la doctrine de l’ Église universelle esquissée plus haut ; la même position centrale définissa
33 sme reconnaît pareillement leur valeur (paroisse, églises diverses, ordres). C’est en effet dans le groupe local que la personn
34 me et le fédéralisme en remplaçant « âmes » par «  églises  » et par « régions ». Enfin nous ne devons pas hésiter à compléter no
35 rtis est un appel à une autorité nouvelle. Si les Églises n’y répondent pas, personne d’autre, je le crains, ne répondra. Avant
36 ns, ne répondra. Avant même de se demander si les Églises peuvent répondre, il faut qu’elles comprennent qu’elles le doivent. M
37 s pas dans la réalité de la foi ? Certes ! Si les Églises sont fidèles à leur chef, elles savent qu’il règne et crée pour ceux
38 mpuissance apparente où se voient aujourd’hui les Églises , si cette foi seule demeure, elle sera suffisante. Aussi bien certain
39 nte. Aussi bien certaines raisons de croire que l’ Église peut agir, raisons que je vais énumérer, sont-elles moins destinées à
40 en est résulté dans le peuple, le sentiment que l’ Église et l’État formaient un tout, et constituaient à eux deux le Pouvoir.
41 ays calvinistes, au contraire, la séparation de l’ Église et de l’État a toujours été réelle — même lorsqu’elle n’était pas str
42 e siècle, ont accompli leur Réforme au sein de l’ Église traditionnelle, sans rupture violente (surtout en Suède). Un contenu
43 une uniformité de gouvernement pour les diverses Églises qui se réclamaient de sa réforme. L’Una Sancta nous apparaît ici-bas,
44 selon ses propres termes, « dans la diversité des Églises et des personnes particulières ». Elle doit donc s’organiser en fédér
45 ssance liturgique qui va de pair, dans toutes les Églises , avec l’effort œcuménique, est en train de recréer un langage commun,
46 une action risquée. De même que nous avons vu les Églises nées des missions en terre païenne se placer à l’avant-garde du mouve
9 1981, Articles divers (1978-1981). Hérétiques de toutes les religions, unissez-vous (1981)
47 tifier les procès de Moscou et la persécution des églises . Mais je relis les onze numéros de notre revue : il n’y est jamais qu
48 ubjectivité comme vérité présente à soi-même »65 Église — fidèle Religion — Foi Cité — personne Orthodoxie désigne courammen
49 r l’Individu (au sens kierkegaardien) mais pour l’ Église (ou le Parti), l’ordre et la gloire de l’institution. Entre les deux,
50 i, et non tel qu’on l’entend — maîtres, coutume d’ Église ou règlements de la société. Comment pourriez-vous, « hérétiques »,
51 le vrai but de tous, et en Lui seul. D’ici là, l’ Église véritable ne saurait exister que dans l’attente ardente et dans cette
52 e.) Au-delà de toute appartenance communautaire — Église ou secte, « loge invisible » ou disciplines d’un ésotérisme rigoureux
10 1981, Articles divers (1978-1981). « Les socialistes sont la chance de la France pour réaliser la réforme des régions » (5 août 1981)
53 quelques dizaines de mètres d’une des plus belles églises de la région. L’évolution politique qui s’amorce en France ne pouvait