1 trompeurs. Depuis La Part du diable (publiée à New York en 1942 et plusieurs fois réédité dans les deux Amériques, à Paris et

2 i a contribué à vous faire découvrir l’Europe ? À New York , pendant la guerre, nous nous retrouvions toujours entre Européens, c

3 créée là-bas. Avec André Breton, nous sillonnions New York à la recherche d’une terrasse de café, que nous ne trouvâmes jamais.

4 elui-ci. André Breton a mené une vie exemplaire à New York . Il aurait pu très facilement être le « big man » (les Américains ado

5 ation, le nationalisme fauteur de guerre. C’est à New York également que j’ai rencontré Einstein peu de temps après la parution

6 ont plus rentables — vous connaissez l’exemple de New York , qui ne se relève pas de la faillite —, mais que fera-t-on de ces esp

7 suivante : « Présence de la mort a paru en 1944 à New York grâce à l’éditeur allemand Kurt Wolff qui venait de fonder Pantheon B

8 ples différents. 24. La Part du diable , 1944, New York  ; 1946, Paris et Neuchâtel. an. Rougemont Denis de, « Notes pour un

9 t l’écouter parler des malheurs de sa France… » New York , 10 juillet 1942 … Il m’explique que le Maréchal sauve la « substa

10 eures du jour et de la nuit. Tonio, rentré hier à New York , m’avait prié de l’attendre à la gare. Il paraît, maintenant gaucheme

11 — Nouvelle maison à la campagne, à deux heures de New York , avec les Saint Exupéry. J’y passe mes trente-six heures de congé, ch

12 etire épuisé (je dois être demain à neuf heures à New York ), mais il vient encore dans ma chambre fumer des cigarettes et discut

13 bo. Je ne connais rien de plus charmant dans tout New York  : moquettes fauves, grands miroirs ternis, bibliothèque vert sombre e

14 forment les châteaux au fond de nos mémoires. New York , fin février 1943 Depuis que nous habitons à cent mètres les uns d

15 e sommeil de vos amis. » (Tout le monde le sait à New York . Il se trouve que je suis un nocturne et m’en accommode mieux que d’a

16 gique qu’il a sans doute, obscurément, choisi. New York , 1er avril 1943 Consuelo m’appelle ce matin pour me dire que Tonio

17 s’impose avec ce qu’écrivait aux mêmes moments, à New York d’abord puis à Londres, Simone Weil décidée — elle en est morte — à s

18 à Consuelo dans un style beaucoup plus détendu : New York , les divisions, les disputes, les calomnies, les histoires A.B. m’ont

19 lle », History of European Ideas, vol. 1, Oxford, New York , 1980, p. 31-38. bi. La version publiée contient des coquilles, qu’o

20 ean Paul II en Pologne, en Irlande, au Mexique, à New York , ils n’ont parlé que de ferveur et de piété. Il s’agit, à vrai dire,

21 z-vous écrit en Amérique ? Non, il a été publié à New York « par accident », si je puis dire. En réalité, il était terminé en 19

22 e et Jacques Schiffrin l’a publié, en français, à New York . Il a été repris par Gallimard à mon retour en 1946, ainsi que par la

23 t par L’Histoire de Dieu, 1963. Cette année-là, à New York , je compose chaque jour les textes de l’émission intitulée La Voix de

24 au boom des abris antiatomiques. On mettait tout New York sous abris. Et on me faisait de vifs reproches : « À quoi pensez-vous

25 . de Rougemont : Lettres sur la bombe atomique , New York 1946, Paris 1947. 84. Georg C. Lichtenberg (1742-1799), physicien et

26 is de rougemont, Lettres sur la bombe atomique , New York et Paris, 1946. 95. Georg C. Lichtenberg (1742-1799), physicien et a