1 s’est révélée capable d’intégrer par la suite des apports germaniques et celtes, mais aussi slaves et arabes, tout différents d

2 slaves et arabes, tout différents des premiers. L’ apport germanique résultant de la fusion du Barbaricum et de la Romania a co

3 fédératives et communautaires, ou « libertés ». L’ apport celte est sensible d’une part dans l’évangélisation de plusieurs régi

4 e (romans de la Table ronde, mythe de Tristan). L’ apport arabe est triple : éléments de chimie et de mathématiques, philosophi

5 par la cour de Frédéric II à Palerme ? Enfin, les apports slaves ne sauraient être négligés, quoique très récents (roman russe,

6 nonce qu’elles contribueront pour 15 % à 20 % à l’ apport d’énergie, si tout va bien. Or, rien ne va bien avec les centrales nu

7 la culture occidentale. Faut-il enfin rappeler l’ apport arabe, l’une des sources principales de la lyrique des troubadours, d

8 parle et qu’on croit le sentir en Occident ? Et l’ apport slave dès la fin du xixe siècle ? L’étrange homme européen L’u

9 péenne résultant non seulement de la confluence d’ apports divers, mais aussi des conflits permanents qu’ils entretiennent, beau

10 t les bienfaits virtuels, conditionnels, de notre apport . Nous leur donnerons des drogues sans mode d’emploi, et nos remèdes d

11 culture. Sur la base de cette unité intégrant les apports les plus divers au cours des siècles, mais antérieure et supérieure à

12 ix. 4° Pas d’Europe indépendante et viable sans l’ apport créateur toujours renouvelé de sa culture. Mais pas de culture créatr