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yal de Suède, qu’il appelle dans son journal « le
Béarnais
». L’ambition d’une carrière politique revient en force occuper le te
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pas encore claire dans ma tête. 11 novembre. Le
Béarnais
veut de moi. Je m’attache à lui… Mais son propre terrain est mouvant.
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er la première partie à Alexandre [le tsar] et au
Béarnais
. 18 janvier. Travaillé. Les événements vont si vite que mon livre n’
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cherche à se libérer de Charlotte pour suivre le
Béarnais
et tenter avec lui sa chance politique : Mme de Staël l’y pousse, ell
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la liberté. Il n’y en a plus pour notre homme [le
Béarnais
]. Mon ouvrage fera bon effet, j’espère. Mais l’horizon n’est pas bien
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rsonnage : 16 avril. Comme notre pauvre ami [le
Béarnais
] est tombé !… Revu beaucoup de gens… Servons la bonne cause et servon