1 ne trouvâmes jamais. Parfois, dans la 5e Avenue, Breton me signalait S. Dali et nous changions immédiatement de trottoir. Vou

2 angions immédiatement de trottoir. Vous savez que Breton avait surnommé Dali « Avida Dollars », ce qui avait beaucoup amusé ce

3 ça), mais ils devaient se contenter de Dali, car Breton les tenait tous à distance. Je ne l’ai jamais entendu prononcer un se

4 uilibre économique. (Ainsi le Front de libération breton revendique pour des motifs économiques, Rennes et Nantes, qui ne parl

5 ues, Rennes et Nantes, qui ne parlent pas ou plus breton …) d) Il ne saurait donc être question de régions qui reproduiraient à

6 otés, qui sait, de leur force de frappe basque ou bretonne . Encore que la supériorité du petit État sur le grand soit aisément v

7 tier, du xiie siècle des troubadours et du Roman breton jusqu’à Wagner. C’est par lui que la passion est entrée dans nos mœur

8 n, de race, de coutumes et de niveau de vie entre Bretons , Alsaciens et Provençaux, Souabes et Prussiens, Piémontais et Sicilie

9 fait de la rébellion. On pense aux Gallois, aux Bretons , aux Corses, aux Tyroliens du Sud, aux Catalans naguère, à cent autre

10 fête : la musique à laquelle j’ai pu vérifier que Breton demeurait curieusement insensible, voire hostile.) Les caractères gén

11 e au service de la révolution, jusqu’au moment où Breton rompt avec Aragon et Éluard, parce qu’ils choisissent le stalinisme m

12 impénétrable, mais éclatant soudain pour traiter Breton « médusé », de « révolutionnaire de salle de spectacle ». Après la qu

13 ies, nous parlons du retour en force des légendes bretonnes qui ont inspiré en partie son livre L’Amour et l’Occident , publié e