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des ordres religieux du Moyen Âge, et les synodes
calvinistes
(assemblées de notables élus par les communautés locales ou paroisses
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smes nombreux, dès cette époque, dans les Églises
calvinistes
. Une Église qui prétend se suffire et posséder son principe d’unité,
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n’en existe aucune qui se soit développée en pays
calviniste
, ou seulement influencés par des éléments calvinistes, même laïcisés,
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viniste, ou seulement influencés par des éléments
calvinistes
, même laïcisés, comme ce fut le cas de la France sous la Troisième Ré
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le, et devinrent donc totalitaires. Dans les pays
calvinistes
, au contraire, la séparation de l’Église et de l’État a toujours été
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violente (surtout en Suède). Un contenu nouveau,
calviniste
en Grande-Bretagne ou luthérien en Scandinavie, s’est introduit dans
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t nietzschéenne par Heidegger, « dialectique » et
calviniste
par Karl Barth — nous passions aux yeux de nos aînés pour les restaur
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: pour nier que nous défendions une « orthodoxie
calviniste
».) En revanche, les « hérésies » sont dénoncées, mais non point comm
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e suis de toujours et à jamais métaphysicien (les
calvinistes
appellent ça tout de suite un « gnostique », Mais tant pis pour eux).
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bsumer des définitions augustiniennes, thomistes,
calvinistes
ou nietzschéennes, voilà qui annonce l’évolution qui allait en quelqu