1
Constantinople et Chalcédoine, qui ont défini les
caractères
fondamentaux de la conception européenne de l’homme et du monde, en d
2
i, très brièvement suggérée, la généalogie de ces
caractères
distinctifs de notre culture. Un premier fait : la science s’est déve
3
c’est justement son illégalité systématique, son
caractère
suicidaire, incontrôlable. Mais comment ne pas se condamner soi-même,
4
ent théâtral. Par-dessus tout le condamnaient ses
caractères
ouvertement, outrageusement conventionnels : voir les descriptions de
5
rait curieusement insensible, voire hostile.) Les
caractères
généraux de l’évolution culturelle de cette deuxième période du xxe
6
s. Pour essayer de saisir l’ère nouvelle dans ses
caractères
les plus singuliers et sans précédent, je partirai d’une constatation
7
cales, dont la diversité précisément est l’un des
caractères
distinctifs de l’Europe. C’est au niveau régional, et là seulement, q
8
testation irresponsable, ont pris de nos jours un
caractère
de violence sans précédent, qu’on peut expliquer par deux raisons tou
9
la personne de notre ami. Un dernier trait de son
caractère
et de son œuvre d’historien me paraît se révéler finalement comme ess
10
e, ajoute de Rougemont qui a écrit un jour : « Le
caractère
le plus profond du mythe, c’est le pouvoir qu’il prend sur nous, géné
11
e nomme « le traitement automatisé des données de
caractère
personnel », c’est-à-dire la mise en fiche de tous les citoyens. On m
12
la « pub » ou de l’« intox », présente les mêmes
caractères
d’ambivalence, les mêmes potentialités antinomiques de libération ou
13
e nomme « le traitement automatisé des données de
caractère
personnel », c’est-à-dire la mise en fiche de tous les citoyens. On m
14
soins de la pub ou de l’intox, présente les mêmes
caractères
d’ambivalence, les mêmes potentialités antinomiques de libération ou
15
’écriture, ils chercheront au-dehors, grâce à des
caractères
étrangers, non point au-dedans et grâce à eux-mêmes, le moyen de se r